Le Syndicat des énergies renouvelables (SER) a calculé le coût du plan ambitieux du Grenelle de l'environnement en faveur des énergies «vertes» : 3 milliards d'euros par an d'ici 2020.
Dans le cadre du Grenelle de l'environnement, la France s'est donné comme objectif d'augmenter de 20 millions de tonnes équivalent pétrole (tep) la part des énergies renouvelables dans le bouquet énergétique à l'horizon 2020 soit 23% (correspondant à son objectif dans le cadre de l'Union européenne).
Le président du SER, André Antolini, a indiqué jeudi que ce plan coûtera 3 milliards d'euros par an en dépenses fiscales d'ici 2020, mais permettrait d'éviter des émissions de 66 millions de tonnes de CO2, principal gaz à effet de serre jugé responsable du changement climatique. En outre, il permettrait de générer 4 milliards d'euros de recettes fiscales collectives avec la création nette de 120.000 emplois dans le secteur, a-t-il assuré. Et de plus, il se traduirait par des gains en pouvoir d'achat pour les ménages, grâce aux économies d'énergie, d'environ 6 milliards d'euros, compte tenu de l'augmentation prévisible des tarifs de l'électricité, du gaz et du fuel, a-t-il ajouté.
Le président du SER, André Antolini, a indiqué jeudi que ce plan coûtera 3 milliards d'euros par an en dépenses fiscales d'ici 2020, mais permettrait d'éviter des émissions de 66 millions de tonnes de CO2, principal gaz à effet de serre jugé responsable du changement climatique. En outre, il permettrait de générer 4 milliards d'euros de recettes fiscales collectives avec la création nette de 120.000 emplois dans le secteur, a-t-il assuré. Et de plus, il se traduirait par des gains en pouvoir d'achat pour les ménages, grâce aux économies d'énergie, d'environ 6 milliards d'euros, compte tenu de l'augmentation prévisible des tarifs de l'électricité, du gaz et du fuel, a-t-il ajouté.