François Fillon a confirmé lundi lors d’un déplacement à Marseille que la ligne ferroviaire à grande vitesse (LGV) en Provence-Alpes-Côte d'Azur ferait partie des 2.000 km de LGV décidés lors du Grenelle de l'environnement.
«L'Etat restera au côté de la ville pour la construction de projets structurants», a déclaré le Premier ministre, avant de préciser sa pensée : «je pense au projet de LGV Paca, qui fait partie, je le confirme, des 2.000 km de nouvelles lignes à grande vitesse décidés lors du Grenelle de l'environnement».
«Le choix du tracé sera arrêté à la mi-2008 et je souhaite qu'un consensus puisse se dégager lors de ce choix», a précise François Fillon, lors d’un déplacement à Marseille.
La LGV mettrait Nice à moins de quatre heures de Paris d'ici 2020, contre près de 6 actuellement. Le tracé desservant les métropoles littorales de Marseille et de Toulon (dit «LGV des métropoles du sud») a la faveur des élus de ces villes.
«Le choix du tracé sera arrêté à la mi-2008 et je souhaite qu'un consensus puisse se dégager lors de ce choix», a précise François Fillon, lors d’un déplacement à Marseille.
La LGV mettrait Nice à moins de quatre heures de Paris d'ici 2020, contre près de 6 actuellement. Le tracé desservant les métropoles littorales de Marseille et de Toulon (dit «LGV des métropoles du sud») a la faveur des élus de ces villes.
Un des objectifs du Grenelle : doubler le réseau de lignes à grande vitesse (LGV)
Afin d’offrir plus d’alternatives à l’avion et la voiture, 2.000 kilomètres de lignes à grande vitesse supplémentaires doivent être lancées d’ici à 2020, puis 2.500 kilomètres supplémentaires à plus long terme. Ce programme fera l’objet d’une concertation et d’une négociation d’ici l’été 2008 avec les collectivités territoriales, avec en tout état de cause un effort de l’Etat de 16 milliards d’euros.
Afin d’offrir plus d’alternatives à l’avion et la voiture, 2.000 kilomètres de lignes à grande vitesse supplémentaires doivent être lancées d’ici à 2020, puis 2.500 kilomètres supplémentaires à plus long terme. Ce programme fera l’objet d’une concertation et d’une négociation d’ici l’été 2008 avec les collectivités territoriales, avec en tout état de cause un effort de l’Etat de 16 milliards d’euros.
