Le groupe d'ingénierie spécialisé dans le BTP et l'environnement a racheté le Laboratoire du bâtiment et des travaux publics (LBTP) situé en Nouvelle Calédonie.
Cette acquisition annoncée mardi 8 janvier 2002 sans en préciser le montant a été réalisée le 11 décembre 2001.
Créé en 1967 à la demande du Territoire et géré depuis par le CEBTP, filiale du groupe GINGER, le LBTP se compose aujourd'hui de 33 personnes. Cette structure, composé de 33 personnes, a réalisé en 2001 un chiffre d'affaires de 2 M EUR, avec un résultat prévisionnel de 7,5% du chiffre d'affaires, a précisé Ginger dans un communiqué, ajoutant que le laboratoire prévoyait pour 2002 une progression du chiffre d'affaires de plus de 10%.
Leader en Nouvelle Calédonie, le LBTP participe aux études des principaux grands chantiers en matière de mécanique des sols et des roches, études et contrôles de l'ensemble des constructions. Ce laboratoire possède également une expertise reconnue en matière de pathologie des constructions.
Parmi ces principales réalisations, on trouve le diagnostic du patrimoine des quelque 400 ouvrages d'art de Nouvelle Calédonie, mais aussi l'étude et l'expertise des sols des verses de mines ou des principales infrastructures routières, portuaires ou aéroportuaires de la région.
Cette nouvelle entité, qui sera placée sous l'égide du CEBTP, sera dirigée par Philippe Margarit, directeur général adjoint du CEBTP.
Créé en 1967 à la demande du Territoire et géré depuis par le CEBTP, filiale du groupe GINGER, le LBTP se compose aujourd'hui de 33 personnes. Cette structure, composé de 33 personnes, a réalisé en 2001 un chiffre d'affaires de 2 M EUR, avec un résultat prévisionnel de 7,5% du chiffre d'affaires, a précisé Ginger dans un communiqué, ajoutant que le laboratoire prévoyait pour 2002 une progression du chiffre d'affaires de plus de 10%.
Leader en Nouvelle Calédonie, le LBTP participe aux études des principaux grands chantiers en matière de mécanique des sols et des roches, études et contrôles de l'ensemble des constructions. Ce laboratoire possède également une expertise reconnue en matière de pathologie des constructions.
Parmi ces principales réalisations, on trouve le diagnostic du patrimoine des quelque 400 ouvrages d'art de Nouvelle Calédonie, mais aussi l'étude et l'expertise des sols des verses de mines ou des principales infrastructures routières, portuaires ou aéroportuaires de la région.
Cette nouvelle entité, qui sera placée sous l'égide du CEBTP, sera dirigée par Philippe Margarit, directeur général adjoint du CEBTP.