La société d'ingénierie du bâtiment maintient son introduction en Bourse. La maison mère du fameux CEBTP fera donc son entrée sur le second marché parisien le 16 novembre. Ce sera également la première société à affronter la Bourse de Paris depuis le 11 septembre.
Si le contexte économique est peu favorable à une introduction en bourse, cette opération devrait toutefois permettre au groupe Ginger d'assumer ses ambitions de croissance par le biais d'acquisitions en France et à l'étranger. "Nous sommes sereins" a indiqué M. Jean-Luc Schnoebelen, Pdg du groupe, lors d'une conférence de presse. "Nous n'avons pas songé à reporter l'introduction en raison du climat actuel", a-t-il ajouté.
Il faut reconnaître que le jeune groupe a le vent en poupe. Quatre ans à peine après sa création, Ginger compte déjà parmi les grands acteurs européens de l'ingénierie des métiers du bâtiment et de l'environnement. Aujourd'hui, le chiffre d'affaires du groupe qui emploie 1.085 collaborateurs dont 50% d'ingénieurs devrait s'élever en 2001 à 93,4 millions d'euros, soit une croissance de 40% en 3 ans.
Ginger intervient dans l'ingénierie à travers trois secteurs d'activité: le BTP, l'environnement et les nouvelles technologies de l'information.
Le groupe fédère une trentaine de société dont Séchaud et Bossuyt, SIEE(Hydraulogie) et le fameux CEBTP. Créé par la FFB, le Centre expérimental de recherche et d'études du bâtiment et des travaux publics est devenu, au fil des années, une véritable institution. Ce centre de recherche a effectué sa révolution culturelle en juin 1997, lorsque l'entreprise a changé d'actionnariat en quittant la FFB pour rejoindre le groupe de Jean-Luc Schnoebelen qui détient 65% des parts.
En mettant en Bourse 35% de son capital et 22% des droits de vote, le CEBTP et le groupe Ginger devraient renforcer considérablement leurs champs d'action au niveau européen.
"L'objectif avec les fonds levés est de nous développer par croissance externe, 7 sociétés sont actuellement en ligne de mire (3 en France et 4 à l'étranger)" a précisé Jean-Luc Schnoebelen. A suivre.
Il faut reconnaître que le jeune groupe a le vent en poupe. Quatre ans à peine après sa création, Ginger compte déjà parmi les grands acteurs européens de l'ingénierie des métiers du bâtiment et de l'environnement. Aujourd'hui, le chiffre d'affaires du groupe qui emploie 1.085 collaborateurs dont 50% d'ingénieurs devrait s'élever en 2001 à 93,4 millions d'euros, soit une croissance de 40% en 3 ans.
Ginger intervient dans l'ingénierie à travers trois secteurs d'activité: le BTP, l'environnement et les nouvelles technologies de l'information.
Le groupe fédère une trentaine de société dont Séchaud et Bossuyt, SIEE(Hydraulogie) et le fameux CEBTP. Créé par la FFB, le Centre expérimental de recherche et d'études du bâtiment et des travaux publics est devenu, au fil des années, une véritable institution. Ce centre de recherche a effectué sa révolution culturelle en juin 1997, lorsque l'entreprise a changé d'actionnariat en quittant la FFB pour rejoindre le groupe de Jean-Luc Schnoebelen qui détient 65% des parts.
En mettant en Bourse 35% de son capital et 22% des droits de vote, le CEBTP et le groupe Ginger devraient renforcer considérablement leurs champs d'action au niveau européen.
"L'objectif avec les fonds levés est de nous développer par croissance externe, 7 sociétés sont actuellement en ligne de mire (3 en France et 4 à l'étranger)" a précisé Jean-Luc Schnoebelen. A suivre.
