La filiale du groupe Nexity rend publics ses résultats des trois premiers trimestres 2002. Elle annonce un chiffre d'affaires prévisionnel pour l'année supérieur au milliard d'euro, en hausse de 8%.
Le 28 septembre, Féréal, filiale de George V-Nexity, posait à Saint-Ouen la première pierre d'un programme débutant le chantier de sa septième résidence Villanova en Ile-de-France.
Dans une conjoncture satisfaisante, le promoteur réussi à tirer son épingle du jeu. La demande soutenue de logements neufs de la part des ménages, confirmée tant pour l'accession à la propriété que pour l'investissement immobilier, a permis à George V de fonder un chiffre d'affaires en progression de 12% par rapport aux trois premiers trimestres de l'année 2001. La solvabilité de cette demande demeure globalement satisfaite par la conjonction de prix de vente quasiment stable et de prêts à taux zéro (PTZ). De fait, 39% des ventes réalisées au cours de ces neuf mois par le promoteur ont été faites au profit des primo-accédants, le PTZ ayant été utilisé par près du quart des acquéreurs, soit 23,4%. Néanmoins, George V constate, à son tour, qu'une insuffisance de l'offre pèse sur certains marchés locaux, comme l'Ile-de-France et la Côte d'Azur, et pour certains produits (maisons, appartements) avec les effets inévitables qui s'observent sur les prix comme sur les loyers.
Ce constat l'amène à s'opposer à toute remise en question des mécanismes d'incitation à l'acquisition de logement, tels que le PTZ pour la résidence principale ou l'amortissement Besson pour le placement locatif. " Nos gouvernements et nos administrations seront bien inspirés de ne pas prendre le risque de fragiliser l'investissement immobilier par de nouvelles mesures qui, soit compromettraient la solvabilité d'une certaine catégorie de ménages, soit décourageraient à nouveau les propriétaires bailleurs et investisseurs ", affirme Alain Dinin, Vice-président du directoire de Nexity et Président de George V.
Pour le marché des terrains à bâtir, le groupe annonce une baisse sensible des réservations, -21% par rapport au 1er semestre 2001, résultat jugé conforme à la prévision budgétaire. " Cette diminution s'explique par la seule réduction de l'offre disponible et donc par la plus grande difficulté à lancer de nouvelles opérations (incidence de la loi SRU par exemple) ", indique le promoteur. En effet, le taux d'écoulement, de 19,3%, confirme une demande très soutenue, même s'il est vrai que le prix des terrains à bâtir n'ont progressés que de 1% au cour des six derniers mois.
Sur la base des résultats commerciaux enregistrés pour les trois premiers trimestres, George V prévoit, pour l 'ensemble de l'année, 5.770 réservations en promotion logement (en hausse de 7,8% par rapport aux 5.350 pour l'exercice 2001), et 2.300 réservations de terrains en aménagement-lotissement (en baisse de 7,3% par rapport aux 2.480 de 2001). Malgré cela, le chiffre d'affaire réservé dépasserait quelque peu le milliard d'euro TTC, soit une hausse supérieure à 8%.
Dans une conjoncture satisfaisante, le promoteur réussi à tirer son épingle du jeu. La demande soutenue de logements neufs de la part des ménages, confirmée tant pour l'accession à la propriété que pour l'investissement immobilier, a permis à George V de fonder un chiffre d'affaires en progression de 12% par rapport aux trois premiers trimestres de l'année 2001. La solvabilité de cette demande demeure globalement satisfaite par la conjonction de prix de vente quasiment stable et de prêts à taux zéro (PTZ). De fait, 39% des ventes réalisées au cours de ces neuf mois par le promoteur ont été faites au profit des primo-accédants, le PTZ ayant été utilisé par près du quart des acquéreurs, soit 23,4%. Néanmoins, George V constate, à son tour, qu'une insuffisance de l'offre pèse sur certains marchés locaux, comme l'Ile-de-France et la Côte d'Azur, et pour certains produits (maisons, appartements) avec les effets inévitables qui s'observent sur les prix comme sur les loyers.
Ce constat l'amène à s'opposer à toute remise en question des mécanismes d'incitation à l'acquisition de logement, tels que le PTZ pour la résidence principale ou l'amortissement Besson pour le placement locatif. " Nos gouvernements et nos administrations seront bien inspirés de ne pas prendre le risque de fragiliser l'investissement immobilier par de nouvelles mesures qui, soit compromettraient la solvabilité d'une certaine catégorie de ménages, soit décourageraient à nouveau les propriétaires bailleurs et investisseurs ", affirme Alain Dinin, Vice-président du directoire de Nexity et Président de George V.
Pour le marché des terrains à bâtir, le groupe annonce une baisse sensible des réservations, -21% par rapport au 1er semestre 2001, résultat jugé conforme à la prévision budgétaire. " Cette diminution s'explique par la seule réduction de l'offre disponible et donc par la plus grande difficulté à lancer de nouvelles opérations (incidence de la loi SRU par exemple) ", indique le promoteur. En effet, le taux d'écoulement, de 19,3%, confirme une demande très soutenue, même s'il est vrai que le prix des terrains à bâtir n'ont progressés que de 1% au cour des six derniers mois.
Sur la base des résultats commerciaux enregistrés pour les trois premiers trimestres, George V prévoit, pour l 'ensemble de l'année, 5.770 réservations en promotion logement (en hausse de 7,8% par rapport aux 5.350 pour l'exercice 2001), et 2.300 réservations de terrains en aménagement-lotissement (en baisse de 7,3% par rapport aux 2.480 de 2001). Malgré cela, le chiffre d'affaire réservé dépasserait quelque peu le milliard d'euro TTC, soit une hausse supérieure à 8%.