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Le groupe français d'hospitalisation privée Générale de Santé étudie la possibilité de transférer son patrimoine immobilier vers une société foncière ad hoc, qui pourrait être cotée en Bourse.
"Il s'agit de segmenter le monde de l'immobilier et le monde de l'exploitation", a expliqué le président du directoire, Daniel Bour au cours d'une conférence de presse.Générale de Santé loue actuellement 40% de ses locaux. Le groupe est propriétaire d'un tiers de ses immeubles tandis qu'un peu moins d'un autre tiers sont placés sous le régime du crédit-bail. La valeur brute de son patrimoine immobilier est évaluée à 602,6 millions d'euros.
La création en 2003 d'un régime fiscal ad hoc pour les Sociétés d'investissements immobiliers cotées (SIIC) exonère d'impôts l'essentiel de leurs activités. Le directeur administratif et financier de Générale de Santé, Emmanuel de Geuser, a toutefois précisé que le but de cette opération serait essentiellement de "mieux mettre en valeur l'activité du groupe".
"Une partie de la rentabilité du groupe provient du fait de détenir des biens en propre. Mais ce n'est pas seulement ça. En fait l'exploitation a une rentabilité meilleure que l'immobilier", a expliqué M. de Geuser.
"Il s'agit de garder le contrôle de notre immobilier tout en faisant entrer des investisseurs. La société sera éventuellement cotée. Nous allons y travailler dès cette année", a-t-il ajouté.
La création en 2003 d'un régime fiscal ad hoc pour les Sociétés d'investissements immobiliers cotées (SIIC) exonère d'impôts l'essentiel de leurs activités. Le directeur administratif et financier de Générale de Santé, Emmanuel de Geuser, a toutefois précisé que le but de cette opération serait essentiellement de "mieux mettre en valeur l'activité du groupe".
"Une partie de la rentabilité du groupe provient du fait de détenir des biens en propre. Mais ce n'est pas seulement ça. En fait l'exploitation a une rentabilité meilleure que l'immobilier", a expliqué M. de Geuser.
"Il s'agit de garder le contrôle de notre immobilier tout en faisant entrer des investisseurs. La société sera éventuellement cotée. Nous allons y travailler dès cette année", a-t-il ajouté.
