Le groupe GDF Suez vient de déposer, auprès du ministère de l'Ecologie, un courrier dans lequel il demande à l'Etat de lancer la construction d'un réacteur Atmea de 1.000 MW dans la vallée du Rhône. Il aimerait également associer son concurrent EDF à hauteur d'un tiers dans la société en charge du projet, a indiqué le quotidien Les Echos.
Encore une centrale nucléaire en France ? Certes, elle ne serait pas de type EPR comme dans les projets d'EDF à Flamanville (50) et à Penly (76), mais de type Atmea.
Selon une information parue dans Les Echos de mercredi, GFD Suez, qui souhaite implanter une nouvelle centrale nucléaire dans la vallée du Rhône, a demandé à l'Etat d'en lancer la construction pour une mise en service peu après 2020. Le groupe opte pour un système de type Atmea plutôt qu'EPR, estimant qu'après l'échec de la filière nucléaire française à Abu Dhabi, « il faut diversifier l'offre et proposer une puissance plus adaptée à la taille de certains pays comme la Jordanie », indique le quotidien. Ce réacteur, conçu conjointement par Areva et Mitsubishi a une capacité d'environ 1.000 MW, pourrait devenir être une référence nationale et une vitrine technologique aisément exportable. C'est en tout cas l'argument de GDF Suez qui serait prêt à présenter son projet au comité de politique nucléaire présidée par le Chef de l'Etat.
Selon une information parue dans Les Echos de mercredi, GFD Suez, qui souhaite implanter une nouvelle centrale nucléaire dans la vallée du Rhône, a demandé à l'Etat d'en lancer la construction pour une mise en service peu après 2020. Le groupe opte pour un système de type Atmea plutôt qu'EPR, estimant qu'après l'échec de la filière nucléaire française à Abu Dhabi, « il faut diversifier l'offre et proposer une puissance plus adaptée à la taille de certains pays comme la Jordanie », indique le quotidien. Ce réacteur, conçu conjointement par Areva et Mitsubishi a une capacité d'environ 1.000 MW, pourrait devenir être une référence nationale et une vitrine technologique aisément exportable. C'est en tout cas l'argument de GDF Suez qui serait prêt à présenter son projet au comité de politique nucléaire présidée par le Chef de l'Etat.
Frères ennemis
Le groupe de Gérard Mestrallet entend, toujours selon Les Echos, constituer des partenariats bilatéraux entre des électriciens français ou étrangers et Areva, « là où EDF souhaite avoir un rôle prépondérant ». C'est pourquoi GDF Suez propose qu'EDF soit associé à hauteur d'un tiers dans la société qui serait chargée de construire le réacteur. A suivre…