L'état très délabré des bâtiments existants ne permet pas de les conserver et de les réhabiliter, et particulièrement dans ce projet de logements collectif. En revanche, les maîtres d'œuvre décident de s'appuyer sur l'emprise de ces vestiges et de conserver la typologie du site, avec dix maisons individuelles qui seront réalisées là où existaient les deux anciens bâtiments, une cour intérieure qui sera paysagée et végétalisée, et des jardins privatifs et collectifs. "Il s'agit donc d'une réinterprétation des éléments architecturaux existants, l'idée étant de garder l'échelle d'une ferme et de ne pas la fragmenter", assure Grégoire Dumont, architecte du projet.
Bois et béton de chanvre se marient aux Loges en Josas
Carine Lauga, le 25/11/2014