Les huit pays les plus développés de la planète, qui comptent à eux seuls pour 40% des émissions de GES de la planète, ont reconnu jeudi la nécessité de réduire «substantiellement» les émissions polluantes débridées responsables du réchauffement.
Dans un communiqué publié à Heiligendamm, les membres du G8 ont reconnu que «les émissions doivent cesser d'augmenter et ensuite être réduites de façon substantielle».
Bien que très isolés face aux Européens, au Japon et au Canada, selon un observateur, les Etats-Unis sont parvenus à bloquer tout objectif chiffré et mesurables dans le temps de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES).
Les membres du G8 ont pris acte des conclusions du Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (Giec), comme le souhaitait la présidence allemande des travaux. La «réduction substantielle» envisagée n'est cependant pas datée dans le temps ni par rapport à une période spécifiée.
Par ailleurs, le G8 s'engage à poursuivre ses efforts dès la fin de l'année sous l'égide des Nations unies -«le forum approprié»- pour définir un futur «régime international» de lutte contre le réchauffement, au-delà du protocole de Kyoto qui expire en 2012.
Bien que très isolés face aux Européens, au Japon et au Canada, selon un observateur, les Etats-Unis sont parvenus à bloquer tout objectif chiffré et mesurables dans le temps de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES).
Les membres du G8 ont pris acte des conclusions du Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (Giec), comme le souhaitait la présidence allemande des travaux. La «réduction substantielle» envisagée n'est cependant pas datée dans le temps ni par rapport à une période spécifiée.
Par ailleurs, le G8 s'engage à poursuivre ses efforts dès la fin de l'année sous l'égide des Nations unies -«le forum approprié»- pour définir un futur «régime international» de lutte contre le réchauffement, au-delà du protocole de Kyoto qui expire en 2012.