La commission européenne donnera jeudi 19 juillet sa réponse sur le dossier de fusion entre les groupes sidérurgiques français Usinor, luxembourgeois Arbed et espagnol Aceralia.
Selon plusieurs observateurs, les autorités européennes de la concurrence ne devraient toutefois pas se prononcer franchement et risquent d'opter jeudi pour une enquête approfondie de quatre mois.
Fin mai, le PDG d'Usinor, Francis Mer, avait estimé que Bruxelles allait "demander très probablement un examen approfondi" sur le mariage des trois groupes européens. Il avait alors espéré obtenir le feu vert de la Commission européenne au mois d'octobre pour conclure la fusion "avant la fin de l'année".
Bruxelles pourrait réclamer la vente d'activités de négoce et distribution "dans certaines zones", ainsi que la cession des activités dans le revêtement de tôle carbone, avait encore indiqué Françis Mer.
Si l'opération se réalise, l'ensemble fusionné, baptisé provisoirement NewCo, deviendra le unméro un mondial de l'acier avec une part de marché de 5%.
Fin mai, le PDG d'Usinor, Francis Mer, avait estimé que Bruxelles allait "demander très probablement un examen approfondi" sur le mariage des trois groupes européens. Il avait alors espéré obtenir le feu vert de la Commission européenne au mois d'octobre pour conclure la fusion "avant la fin de l'année".
Bruxelles pourrait réclamer la vente d'activités de négoce et distribution "dans certaines zones", ainsi que la cession des activités dans le revêtement de tôle carbone, avait encore indiqué Françis Mer.
Si l'opération se réalise, l'ensemble fusionné, baptisé provisoirement NewCo, deviendra le unméro un mondial de l'acier avec une part de marché de 5%.