Le projet de fusion entre les trois groupes sidérurgiques français Usinor, luxembourgeois Arbed et espagnol Aceralia sera soumis début juin à l'autorité de la concurrence de la Commission européenne.
A l'occasion de l'assemblée générale des actionnaires d'Usinor, Françis Mer, pdg du groupe sidérurgique français a déclaré que le projet de fusion entre Usinor, Arbed et Aceralia sera soumis début juin à l'autorité de la concurrence de la Commission européenne. " Nous espérons un accord de l'Union Européenne en octobre " a-t-il ajouté.
Le dépôt du dossier à Bruxelles, prévu initialement fin mars, avait été
reporté une première fois à mai. Les trois groupes ont constaté "l'absence de difficultés cachées par rapport à l'accord initial", lors de la préparation du dossier de fusion, a indiqué Françis Mer. "Nous devons choisir le nom de l'entreprise fusionné et établir le prospectus décrivant les conditions d'échange. Nous espérons un accord de l'Union Européenne en octobre", a-t-il poursuivi.
Usinor, Arbed et Aceralia doivent fusionner l'ensemble de leurs activités
par échange d'actions pour former le numéro un mondial de la sidérurgie, à l'automne 2001, selon le calendrier initial.
Baptisé provisoirement NewCo, l'ensemble fusionné emploiera plus de
110.000 salariés avec un chiffre d'affaires estimé de près de 30 milliards
d'euros. Les trois partenaires ont annoncé qu'ils étaient "prêts à accepter
des cessions" pour obtenir le feu vert de la Commission européenne.
Le dépôt du dossier à Bruxelles, prévu initialement fin mars, avait été
reporté une première fois à mai. Les trois groupes ont constaté "l'absence de difficultés cachées par rapport à l'accord initial", lors de la préparation du dossier de fusion, a indiqué Françis Mer. "Nous devons choisir le nom de l'entreprise fusionné et établir le prospectus décrivant les conditions d'échange. Nous espérons un accord de l'Union Européenne en octobre", a-t-il poursuivi.
Usinor, Arbed et Aceralia doivent fusionner l'ensemble de leurs activités
par échange d'actions pour former le numéro un mondial de la sidérurgie, à l'automne 2001, selon le calendrier initial.
Baptisé provisoirement NewCo, l'ensemble fusionné emploiera plus de
110.000 salariés avec un chiffre d'affaires estimé de près de 30 milliards
d'euros. Les trois partenaires ont annoncé qu'ils étaient "prêts à accepter
des cessions" pour obtenir le feu vert de la Commission européenne.