ÉNERGIES. Invité à s'exprimer lors d'un colloque sur l'électricité, Jean-François Carenco, le président de la Commission de régulation de l'énergie (CRE), a déploré l'important retard pris par l'Hexagone dans le développement des capacités d'énergies renouvelables. Et d'épingler au passage les détracteurs des éoliennes et des panneaux photovoltaïques.
Le propos a le mérite d'être clair. Invité à s'exprimer lors du colloque annuel de l'Union française de l'électricité (UFE), le président de la Commission de régulation de l'énergie (CRE), Jean-François Carenco, a déploré l'important retard pris par l'Hexagone dans le développement des capacités d'énergies renouvelables. Et de faire le lien entre ces problèmes de calendrier et les hausses des prix énergétiques que la population et les entreprises connaissent actuellement : "Sur les énergies renouvelables, je pense qu'on ne dit pas assez (...) qu'on est très en retard ; on est très très en retard", a-t-il déclaré, selon l'AFP. "Si on avait suivi la feuille de route des énergies renouvelables telle qu'elle était prévue il y a deux ans, on n'aurait pas de crise. Je pense qu'on n'aurait pas de crise si on avait 3 gigawatts de plus."
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