Selon une étude du cabinet daudit KPMG publiée mardi, la France est le pays d'Europe où les coûts d'implantation pour les entreprises sont les plus faibles. Au niveau mondial, elle se positionne à la troisième place, derrière Singapour et le Canada.
«Notre objectif était de réaliser un guide concurrentiel de l'implantation des entreprises à l'usage des investisseurs du monde entier», a expliqué mardi Jean-Luc Decornoy, président du directoire de KPMG en France, a loccasion de la publication de cette étude.
Le classement effectué par le cabinet daudit concerne lexamen de 128 villes de neuf pays d'Amérique du Nord, d'Europe et de la région Asie-Pacifique selon 27 critères de coûts, parmi lesquels la main-d'oeuvre, les impôts, l'immobilier ou encore les services de base (eau, électricité, gaz, transports etc..). Singapour arrive en tête du classement, suivi du Canada, puis de la France, des Pays-Bas et de l'Italie. Le Royaume-Uni est sixième, les Etats-Unis sont en septième position, devant le Japon et l'Allemagne, les deux pays les plus chers.
Selon létude, s'installer à Singapour coûte pour une entreprise 22,3% moins cher qu'aux Etats-Unis, alors que l'avantage du Canada et de la France est de respectivement 5,5% et 4,4%. Pour KPMG, les atouts de la France sont «des coûts plus faibles dans le domaine de l'énergie, des transports, des prix de revient du foncier et même des coûts salariaux réels (charges sociales comprises)». Sur ce dernier critère la France pointe en quatrième position, derrière Singapour, le Canada et l'Italie, mais loin devant l'Allemagne, dernière du classement.
Paris à la 6e place des grandes métropoles les plus attractives
En revanche au niveau des grandes métropoles les plus attractives pour une implantation, Paris n'est que sixième - après Singapour, Toronto, Amsterdam, Turin et Chicago- en raison notamment du coût des loyers, de la main-d'oeuvre et des télécommunications. Mais elle est jugée plus intéressante financièrement que Yokohama, Londres, Francfort ou New York.
En ce qui concerne les très grandes agglomérations (plus de 1,5 million d'habitants), Lyon arrive en deuxième position derrière Montréal. Et pour les villes de 100.000 à 500.000 habitants Montpellier et Nantes occupent la tête de ce classement international.
Le classement effectué par le cabinet daudit concerne lexamen de 128 villes de neuf pays d'Amérique du Nord, d'Europe et de la région Asie-Pacifique selon 27 critères de coûts, parmi lesquels la main-d'oeuvre, les impôts, l'immobilier ou encore les services de base (eau, électricité, gaz, transports etc..). Singapour arrive en tête du classement, suivi du Canada, puis de la France, des Pays-Bas et de l'Italie. Le Royaume-Uni est sixième, les Etats-Unis sont en septième position, devant le Japon et l'Allemagne, les deux pays les plus chers.
Selon létude, s'installer à Singapour coûte pour une entreprise 22,3% moins cher qu'aux Etats-Unis, alors que l'avantage du Canada et de la France est de respectivement 5,5% et 4,4%. Pour KPMG, les atouts de la France sont «des coûts plus faibles dans le domaine de l'énergie, des transports, des prix de revient du foncier et même des coûts salariaux réels (charges sociales comprises)». Sur ce dernier critère la France pointe en quatrième position, derrière Singapour, le Canada et l'Italie, mais loin devant l'Allemagne, dernière du classement.
Paris à la 6e place des grandes métropoles les plus attractives
En revanche au niveau des grandes métropoles les plus attractives pour une implantation, Paris n'est que sixième - après Singapour, Toronto, Amsterdam, Turin et Chicago- en raison notamment du coût des loyers, de la main-d'oeuvre et des télécommunications. Mais elle est jugée plus intéressante financièrement que Yokohama, Londres, Francfort ou New York.
En ce qui concerne les très grandes agglomérations (plus de 1,5 million d'habitants), Lyon arrive en deuxième position derrière Montréal. Et pour les villes de 100.000 à 500.000 habitants Montpellier et Nantes occupent la tête de ce classement international.