Au premier semestre 2002, le leader mondial de la distribution de matériel électrique (groupe Pinault Printemps Redoute) a vu son bénéfice net chuter de 48,5% pour atteindre 47,4 millions d'euros.
Le résultat net consolidé avant amortissement des écarts d'acquisition a chuté quant à lui de 40% pour atteindre 65,6 millions d'euros, contre 109,4 millions d'euros sur les six premiers mois de 2001 indique le distributeur. Hors éléments non récurrents, la baisse s'élève à 24%, a précisé le groupe dans un communiqué.
Sur le premier semestre, le bénéfice d'exploitation s'est établi à 151 millions d'euros, contre 201,3 millions d'euros un an plus tôt, soit un repli de 25%.
Rexel a souligné qu'il avait "réduit significativement ses coûts d'exploitation". A structure comparable, les économies représentent 15,9 millions d'eurosen frais de personnel et 9,5 millions d'euros pour les autres charges, hors éléments non récurrents intervenus en 2001.
En outre, "dans des marchés très difficiles et malgré la chute des volumes", le groupe note que sa marge brute a progressé de 0,4 point, à 24,8% du chiffre d'affaires au premier semestre 2002. Elle s'est élevée à 923,3 millions d'euros.
Le chiffre d'affaires a reculé de 7,1% au premier semestre 2002, à 3,72 milliards d'euros, et ressort en baisse de 6,7% à structure, change et jours comparables.
Par ailleurs, le ratio d'endettement net sur fonds propres ressort au 30 juin 2002 à 84% contre 103% un an plus tôt, "traduisant la poursuite de la politique de désendettement menée par Rexel", selon le communiqué.
Expliquant qu'il "reste prudent sur la conjoncture", le groupe de distribution électrique observe néanmoins "des éléments encourageants" (carnets de commandes, ventes sur stocks, facturation quotidienne) dans plusieurs pays.
Les efforts d'adaptation des coûts et de réduction des besoins en fonds de roulement, qui vont se poursuivre et s'ajouter aux mesures de 2001, placent Rexel "favorablement, compte tenu notamment de l'effet de base sur le second semestre", a ajouté la filiale de PPR.
Sur le premier semestre, le bénéfice d'exploitation s'est établi à 151 millions d'euros, contre 201,3 millions d'euros un an plus tôt, soit un repli de 25%.
Rexel a souligné qu'il avait "réduit significativement ses coûts d'exploitation". A structure comparable, les économies représentent 15,9 millions d'eurosen frais de personnel et 9,5 millions d'euros pour les autres charges, hors éléments non récurrents intervenus en 2001.
En outre, "dans des marchés très difficiles et malgré la chute des volumes", le groupe note que sa marge brute a progressé de 0,4 point, à 24,8% du chiffre d'affaires au premier semestre 2002. Elle s'est élevée à 923,3 millions d'euros.
Le chiffre d'affaires a reculé de 7,1% au premier semestre 2002, à 3,72 milliards d'euros, et ressort en baisse de 6,7% à structure, change et jours comparables.
Par ailleurs, le ratio d'endettement net sur fonds propres ressort au 30 juin 2002 à 84% contre 103% un an plus tôt, "traduisant la poursuite de la politique de désendettement menée par Rexel", selon le communiqué.
Expliquant qu'il "reste prudent sur la conjoncture", le groupe de distribution électrique observe néanmoins "des éléments encourageants" (carnets de commandes, ventes sur stocks, facturation quotidienne) dans plusieurs pays.
Les efforts d'adaptation des coûts et de réduction des besoins en fonds de roulement, qui vont se poursuivre et s'ajouter aux mesures de 2001, placent Rexel "favorablement, compte tenu notamment de l'effet de base sur le second semestre", a ajouté la filiale de PPR.
