Selon le cabinet immobilier CB Richard Ellis Bourdais, en 2003, les loyers de l'immobilier de bureaux en Ile-de-France ont baissé de 9% tandis que la surface commercialisée a progressé de 11,5% avec un peu plus de 1,7 million de mètres carrés.
La progression de la surface commercialisée (louée ou achetée) représente une "bonne surprise", a indiqué Maurice Gauchot, co-président du groupe CBRE Bourdais, qualifiant 2003 de "bonne année" et faisant état d'un rattrapage au dernier trimestre.
En 2004, la surface commercialisée devrait être "au moins égale" à celle de 2003 tandis que les loyers devraient poursuivre leur baisse. Une stabilisation est attendue du loyer moyen francilien pour "la fin 2004, début 2005", a ajouté le cabinet. Mais, le cabinet ne pronostique pas une remontée des taux "dans l'immédiat".
A plus long terme, en 2005, "si le volume des transactions est là, si l'offre neuve s'écoule, on devrait se trouver dans un marché plus serein", a indiqué M. Gauchot.
Depuis la mi-2001, CBRE Bourdais estime que la baisse cumulée des loyers de bureaux a atteint 15%. Dans le quartier d'affaires de la Défense, le repli de loyers s'est inscrit en 2003 entre 7 et 10%.
L'offre immédiate disponible en Ile-de-France est légèrement inférieure à 3 millions de mètres carrés. Le taux de vacance dans cette région s'est établi à 6,5%.
Dans certains secteurs, pour les grandes surfaces, CBRE Bourdais note que "le choix est restreint" pour les entreprises. En 2003, près de 70% des transactions a porté sur des surfaces de plus de 5.000 mètres carrés.
Certaines communes comme Saint-Denis, Saint Ouen et Montreuil se sont confirmées comme nouveaux pôles immobiliers, a en outre ajouté le cabinet. 80% des livraisons prévues entre début 2004 et fin 2006 concernent Paris et la première périphérie, a-t-il encore précisé.
Les investissements dans le secteur ont atteint 9,5 milliards d'euros en 2003, avec à la tête des acheteurs les fonds allemands.
La part des transactions concernant des administrations ou plus largement du parapublic va rester "forte" en Ile-de-France, a indiqué le cabinet, citant notamment l'exemple de l'extension du ministère des Affaires sociales dans le XV arrondissement de Paris en 2003.
Rappelons que l'immobilier de bureaux représente 80% de l'immobilier d'entreprise, les 20% restants se répartissant entre les locaux commerciaux et les entrepôts.
En 2004, la surface commercialisée devrait être "au moins égale" à celle de 2003 tandis que les loyers devraient poursuivre leur baisse. Une stabilisation est attendue du loyer moyen francilien pour "la fin 2004, début 2005", a ajouté le cabinet. Mais, le cabinet ne pronostique pas une remontée des taux "dans l'immédiat".
A plus long terme, en 2005, "si le volume des transactions est là, si l'offre neuve s'écoule, on devrait se trouver dans un marché plus serein", a indiqué M. Gauchot.
Depuis la mi-2001, CBRE Bourdais estime que la baisse cumulée des loyers de bureaux a atteint 15%. Dans le quartier d'affaires de la Défense, le repli de loyers s'est inscrit en 2003 entre 7 et 10%.
L'offre immédiate disponible en Ile-de-France est légèrement inférieure à 3 millions de mètres carrés. Le taux de vacance dans cette région s'est établi à 6,5%.
Dans certains secteurs, pour les grandes surfaces, CBRE Bourdais note que "le choix est restreint" pour les entreprises. En 2003, près de 70% des transactions a porté sur des surfaces de plus de 5.000 mètres carrés.
Certaines communes comme Saint-Denis, Saint Ouen et Montreuil se sont confirmées comme nouveaux pôles immobiliers, a en outre ajouté le cabinet. 80% des livraisons prévues entre début 2004 et fin 2006 concernent Paris et la première périphérie, a-t-il encore précisé.
Les investissements dans le secteur ont atteint 9,5 milliards d'euros en 2003, avec à la tête des acheteurs les fonds allemands.
La part des transactions concernant des administrations ou plus largement du parapublic va rester "forte" en Ile-de-France, a indiqué le cabinet, citant notamment l'exemple de l'extension du ministère des Affaires sociales dans le XV arrondissement de Paris en 2003.
Rappelons que l'immobilier de bureaux représente 80% de l'immobilier d'entreprise, les 20% restants se répartissant entre les locaux commerciaux et les entrepôts.