Le leader mondial du linoléum se concentre sur ses activités colles et bandes transporteuses et est à la recherche d’un partenaire pour son activité revêtements de sol.
"Industriel, leader mondial du linoléum, cherche partenaire pour accélérer sa croissance". C’est en ces termes que la division française de Forbo Flooring a annoncé la décision de la maison mère de concentrer son activité sur ses branches colles et bandes transporteuses. Selon Forbo, ces deux secteurs possèdent de forts potentiels de croissance et de profit. Ainsi, sur le marché des bandes transporteuses, Forbo occupe une place de premier plan, avec une part de marché de 20% et des sites de production en Asie, Europe et Amérique.
Pour autant, l'activité revêtements de sol n’a pas à rougir. En 2003, elle représenté la moitié des ventes du groupe, soit 500 millions d'euros avec 2.500 personnes. Le profit opérationnel s'est élevé à 36 millions d'euros et le groupe affiche un EBIT (Earnings Before Interest and Tax, proche du résultat d’exploitation) de 7,4% à 54 millions de francs suisses.
Par ailleurs, avec l'ensemble de ses marques et de ses produits, le groupe suisse né à Reims en 1924 occupe globalement une part de marché significative ou dominante dans de nombreux pays, en particulier en Europe de l'Ouest.
Mais le marché du revêtement de sol est particulièrement concurrentiel et nécessite d’énormes investissements. Investissements ni ne peuvent être réalisés qu’avec l’appui d’un partenaire extérieur, industriel ou financier. "La recherche et le lancement de nouveaux produits, la modernisation constante des process sur les sites existants, le renforcement et l'extension géographique des réseaux et structures industriels, requièrent des ressources encore plus grandes, pour lesquelles Forbo juge nécessaire un accompagnement financier extérieur" explique-t-on au siège rémois de Forbo Sarlino.
Le scénario idéal serait une participation minoritaire d’un investisseur dans le capital de Forbo Flooring, mais dans son communiqué, le siège du groupe n’exclut pas un désengagement complet de la branche revêtements de sol.
Chez Forbo Sarlino, on se veut rassurant. "Aucun changement n'est prévu au niveau de l’organisation et quelque soit le partenaire, les marques continueront d’exister comme avant" a assuré la porte-parole du groupe.
Pour autant, l'activité revêtements de sol n’a pas à rougir. En 2003, elle représenté la moitié des ventes du groupe, soit 500 millions d'euros avec 2.500 personnes. Le profit opérationnel s'est élevé à 36 millions d'euros et le groupe affiche un EBIT (Earnings Before Interest and Tax, proche du résultat d’exploitation) de 7,4% à 54 millions de francs suisses.
Par ailleurs, avec l'ensemble de ses marques et de ses produits, le groupe suisse né à Reims en 1924 occupe globalement une part de marché significative ou dominante dans de nombreux pays, en particulier en Europe de l'Ouest.
Mais le marché du revêtement de sol est particulièrement concurrentiel et nécessite d’énormes investissements. Investissements ni ne peuvent être réalisés qu’avec l’appui d’un partenaire extérieur, industriel ou financier. "La recherche et le lancement de nouveaux produits, la modernisation constante des process sur les sites existants, le renforcement et l'extension géographique des réseaux et structures industriels, requièrent des ressources encore plus grandes, pour lesquelles Forbo juge nécessaire un accompagnement financier extérieur" explique-t-on au siège rémois de Forbo Sarlino.
Le scénario idéal serait une participation minoritaire d’un investisseur dans le capital de Forbo Flooring, mais dans son communiqué, le siège du groupe n’exclut pas un désengagement complet de la branche revêtements de sol.
Chez Forbo Sarlino, on se veut rassurant. "Aucun changement n'est prévu au niveau de l’organisation et quelque soit le partenaire, les marques continueront d’exister comme avant" a assuré la porte-parole du groupe.
