Foncière Logement, une association dont lobjectif est de favoriser la mixité sociale via le «1% logement», a fait lobjet dune enquête de la Cour des comptes. Le rapport pointerait dimportants dysfonctionnements.
Lassociation Foncière Logement, chargée de favoriser la mixité sociale grâce au «1% logement», est mise en cause par la Cour des comptes dans un «relevé dobservations provisoire», selon le quotidien Le Parisien qui parle dun rapport «pointant au passage de sacrés dysfonctionnements».
Créée en 2002 Foncière Logement a pour mission l'acquisition de logements sociaux dans les communes ou les quartiers où l'offre locative sociale est insuffisante et la réalisation de programmes de logements locatifs afin de favoriser la mixité sociale dans les quartiers de renouvellement urbain. Ses investissements qui totalisent 3,2 milliards d'euros lui ont permis dacquérir 16.000 logements financés par le 1% logement et des emprunts bancaires.
Le contrôle de la Cour des comptes porte sur la période 2002-2007. Le rapport aurait notamment mis laccent sur d'importantes rémunérations allouées à plusieurs administrateurs et un laisser-faire des tutelles, selon Le Parisien. Parmi les personnes mises en cause figureraient Etienne Guéna, l'ancien responsable du secteur logement social du Medef, licencié de l'organisation patronale en août, et Didier Lamy, déjà mis en cause en juin dans un autre «relevé d'observations provisoire» de la Cour des Comptes concernant Alliance, le quatrième collecteur en France du «1% Logement».
Créée en 2002 Foncière Logement a pour mission l'acquisition de logements sociaux dans les communes ou les quartiers où l'offre locative sociale est insuffisante et la réalisation de programmes de logements locatifs afin de favoriser la mixité sociale dans les quartiers de renouvellement urbain. Ses investissements qui totalisent 3,2 milliards d'euros lui ont permis dacquérir 16.000 logements financés par le 1% logement et des emprunts bancaires.
Le contrôle de la Cour des comptes porte sur la période 2002-2007. Le rapport aurait notamment mis laccent sur d'importantes rémunérations allouées à plusieurs administrateurs et un laisser-faire des tutelles, selon Le Parisien. Parmi les personnes mises en cause figureraient Etienne Guéna, l'ancien responsable du secteur logement social du Medef, licencié de l'organisation patronale en août, et Didier Lamy, déjà mis en cause en juin dans un autre «relevé d'observations provisoire» de la Cour des Comptes concernant Alliance, le quatrième collecteur en France du «1% Logement».