La société de services immobiliers devrait annoncer le 19 mars une croissance de ses résultats dans la lignée de ceux de 2001 avec un bénéfice net en hausse de 41,4%.
Selon son président, Jacky Lorenzetti, qui s'exprimait dans les colonnes du Journal des Finances, le bénéfice net du groupe devrait avoisiner les 16,4 millions d'euros, pour un résultat de 26,9 millions, en hausse de 25,7%.
Le produit d'exploitation devrait s'établir à 179,5 millions, représentant une croissance de 16,2%. Pour 2003, ce résultat devrait connaître une nouvelle croissance de 15%.
Le groupe estime à 5% sa part de marché des administrateurs de biens. Il prévoit des opérations de croissance externes en Allemagne avant l'été, et en Suisse et en Belgique dans le courant 2004
Elles devraient être rendues possibles grâce à un endettement à hauteur de 70% des fonds propres, jugé raisonnable, contre actuellement 47%. A ce stade, Jacky Lorenzetti ne juge pas nécessaire un élargissement du flottant.
En raison de la faiblesse des taux d'intérêt, le président du groupe demeure confiant dans la capacité de résistance du marché français de l'immobilier face au ralentissement économique. En revanche, il juge crédible une dégradation poursuivie du marché de l'immobilier de bureau.
Le produit d'exploitation devrait s'établir à 179,5 millions, représentant une croissance de 16,2%. Pour 2003, ce résultat devrait connaître une nouvelle croissance de 15%.
Le groupe estime à 5% sa part de marché des administrateurs de biens. Il prévoit des opérations de croissance externes en Allemagne avant l'été, et en Suisse et en Belgique dans le courant 2004
Elles devraient être rendues possibles grâce à un endettement à hauteur de 70% des fonds propres, jugé raisonnable, contre actuellement 47%. A ce stade, Jacky Lorenzetti ne juge pas nécessaire un élargissement du flottant.
En raison de la faiblesse des taux d'intérêt, le président du groupe demeure confiant dans la capacité de résistance du marché français de l'immobilier face au ralentissement économique. En revanche, il juge crédible une dégradation poursuivie du marché de l'immobilier de bureau.
