Le mandat de l'actuel président de la Fédération nationale des promoteurs constructeurs arrivant à son terme en janvier 2003, un nouveau président doit être élu. Le parisien Michel Bressot se pose en rival de l'actuel numéro un, qui souhaite reconduire son mandat.
Alors que l'ensemble des membres de la FNPC étaient réunis les 26 et 27 septembre à Strasbourg pour le congrès annuel, les dissidences se font de plus en plus visibles à l'approche des élections qui doivent désigner le nouveau président de la fédération. Le bureau de la Chambre syndicale d'Ile-de-France, présidé par jean Paul Bertheau a décidé de soutenir à l'unanimité Michel Bressot, Président Général de Financière Rive Gauche.
Cet appui est d'autant plus significatif que le bureau représente l'ensemble des grands groupes nationaux de promoteurs immobiliers. Par ailleurs, le choix d'un candidat parisien dont la société est également implantée au niveau national s'inscrit dans l'alternance habituelle au sein de la FNPC entre Paris et la province, Henri Guitelmacher étant lyonnais.
Michel Bressot a une vision globale des besoins de la profession au niveau national. Son programme est d'abord tourné en priorité vers les primo-accédants, qui ont de plus en plus de difficultés à se loger en milieu urbain. Cette amélioration justifie selon lui une amélioration du prêt à taux zéro.
Sur ces deux points, en tout cas, il ne se distingue pas de l'actuel président dont le discours de rentrée était orienté vers ces mêmes primo-accédants et demandait une modernisation du PTZ pour le milieu urbain.
Cet appui est d'autant plus significatif que le bureau représente l'ensemble des grands groupes nationaux de promoteurs immobiliers. Par ailleurs, le choix d'un candidat parisien dont la société est également implantée au niveau national s'inscrit dans l'alternance habituelle au sein de la FNPC entre Paris et la province, Henri Guitelmacher étant lyonnais.
Michel Bressot a une vision globale des besoins de la profession au niveau national. Son programme est d'abord tourné en priorité vers les primo-accédants, qui ont de plus en plus de difficultés à se loger en milieu urbain. Cette amélioration justifie selon lui une amélioration du prêt à taux zéro.
Sur ces deux points, en tout cas, il ne se distingue pas de l'actuel président dont le discours de rentrée était orienté vers ces mêmes primo-accédants et demandait une modernisation du PTZ pour le milieu urbain.