Les acteurs de la filière de l'éclairage se sont engagés, le 1er juin dernier, à arrêter la vente de luminaires énergivores. Une décision qui mènera à réduire de 25% la consommation d'éclairage dans les bureaux et les écoles.
Quelques mois après la signature d'une Convention signée entre le ministre de l'Ecologie de l'époque, Jean-Louis Borloo, l'Ademe et les principaux acteurs du secteur de l'éclairage (lire article), les signataires se sont engagés à commercialiser, depuis le 1er juin 2011, uniquement des luminaires fluorescents équipés de ballasts (appareillage installé dans le luminaire) de classe énergétique A1 ou A2.
Cette décision anticipe de 6 ans l'application du règlement européen 245/2009, qui interdira, dès 2017, la mise sur le marché des luminaires fluorescents énergivores car équipés de ballasts ferromagnétiques.
En outre, cette initiative pousse toute la filière à modifier ses comportements, et à appliquer une réglementation incitant déjà à installer ce type de luminaires dans le neuf et la rénovation, notamment dans les marchés publics de l'Etat.
Cette décision anticipe de 6 ans l'application du règlement européen 245/2009, qui interdira, dès 2017, la mise sur le marché des luminaires fluorescents énergivores car équipés de ballasts ferromagnétiques.
En outre, cette initiative pousse toute la filière à modifier ses comportements, et à appliquer une réglementation incitant déjà à installer ce type de luminaires dans le neuf et la rénovation, notamment dans les marchés publics de l'Etat.
