Alors que le groupe El-Khalifa va signer mercredi 26 juin un accord pour la reprise des activités internationales d'Holzmann, le numéro trois du bâtiment néerlandais Heijmans a annoncé qu'il renonçait au rachat de trois unités allemandes du groupe en dépôt de bilan.
"Heijmans n'est pas parvenu à un accord pour la poursuite partielle et le financement des activités de Philipp Holzmann à Düsseldorf, Francfort et Munich", a indiqué le groupe néerlandais dans un communiqué.
Cette rupture des négociations sera cependant sans conséquence pour le rachat des filiales Dubbers à Malden (est des Pays-Bas) et Franki Grondbau (Hanovre) pour lesquelles Heijmans avait signé le 10 mai une lettre d'intention de rachat.
Cette lettre d'intention de rachat portait également sur la succursale à Grafenwoehr (sud de l'Allemagne) de Holzmann.
Au total, les acquisitions prévues par Heijmans auraient dû augmenter le chiffre d'affaires du groupe néerlandais de plus de 350 millions d'euros, et fournir du travail à un millier de personnes.
Le groupe néerlandais a renoncé aux filiales et succursales de la société en dépôt de bilan car il s'est avéré après enquête qu'elles ne répondaient pas aux critères que Heijmans avait posé comme conditions au rachat.
Heijmans avait exigé que les filiales acquises ne modifient pas de manière trop importante le profil de risque de l'entreprise, que les banques concernées par le dépôt de bilan de Holzmann endossent une part importante du refinancement des activités reprises, et que les rachats contribuent au bénéfice par action Heijmans.
Cette rupture des négociations sera cependant sans conséquence pour le rachat des filiales Dubbers à Malden (est des Pays-Bas) et Franki Grondbau (Hanovre) pour lesquelles Heijmans avait signé le 10 mai une lettre d'intention de rachat.
Cette lettre d'intention de rachat portait également sur la succursale à Grafenwoehr (sud de l'Allemagne) de Holzmann.
Au total, les acquisitions prévues par Heijmans auraient dû augmenter le chiffre d'affaires du groupe néerlandais de plus de 350 millions d'euros, et fournir du travail à un millier de personnes.
Le groupe néerlandais a renoncé aux filiales et succursales de la société en dépôt de bilan car il s'est avéré après enquête qu'elles ne répondaient pas aux critères que Heijmans avait posé comme conditions au rachat.
Heijmans avait exigé que les filiales acquises ne modifient pas de manière trop importante le profil de risque de l'entreprise, que les banques concernées par le dépôt de bilan de Holzmann endossent une part importante du refinancement des activités reprises, et que les rachats contribuent au bénéfice par action Heijmans.