Dans un bref communiqué, le groupe a confirmé vendredi la perquisition effectuée mardi dernier dans les bureaux de sa filiale allemande Lafarge Zement par l'office anti-cartel allemand.
L'office anti-cartel avait annoncé mercredi la perquisition de plusieurs entreprises du secteur sans préciser quels groupes étaient concernés. Les enquêteurs étaient à la recherche d'indices sur une éventuelle entente illicite.
Lafarge affirme dans un communiqué que "des actions très approfondies (...) ont été engagées pour s'assurer que chacun de ses collaborateurs, en particulier dans l'Union européenne, agisse dans le plus grand respect des règles de la concurrence".
Début 2003, l'office anti-cartel allemand avait déjà infligé une amende de 660 millions d'euros pour entente illicite, la plus lourde de son histoire, à six cimentiers dont la filiale allemande du français Lafarge.
Les cimentiers, dont Lafarge, ont fait appel de cette décision.
Lafarge affirme dans un communiqué que "des actions très approfondies (...) ont été engagées pour s'assurer que chacun de ses collaborateurs, en particulier dans l'Union européenne, agisse dans le plus grand respect des règles de la concurrence".
Début 2003, l'office anti-cartel allemand avait déjà infligé une amende de 660 millions d'euros pour entente illicite, la plus lourde de son histoire, à six cimentiers dont la filiale allemande du français Lafarge.
Les cimentiers, dont Lafarge, ont fait appel de cette décision.