La Fédération française du bâtiment (FFB) a dénoncé mardi la cacophonie générale liée au lundi de Pentecôte comme journée de solidarité.
Quatre salariés français sur dix se sont rendus au travail ce lundi de Pentecôte. Un jour de solidarité qui ne semble pas convenir aux acteurs du BTP ! La Fédération française du bâtiment sinsurge contre cette journée en dénonçant linterdiction de circuler pour les véhicules de plus de 7,5 tonnes.
« Comme limmense majorité des entreprises du secteur privé, celles du bâtiment ont retenu le lundi de Pentecôte comme jour de solidarité », déclare la FFB dans un communiqué. Mais faute de dérogation pour la circulation des véhicules de plus de 7,5 tonnes, « plus dune entreprise de bâtiment sur deux na pas pu assurer le bon déroulement de leurs chantiers », accuse-t-elle. Une interdiction qui va « entraîner un ralentissement de lactivité qui va se traduire par des retards pénalisant les entreprises et leurs clients », poursuit la fédération.
Ayant alerté le gouvernement début mai, la FFB dénonce une nouvelle fois « lincohérence de cette forme de solidarité consistant à faire payer les entreprises tout en les empêchant de travailler ».
« Comme limmense majorité des entreprises du secteur privé, celles du bâtiment ont retenu le lundi de Pentecôte comme jour de solidarité », déclare la FFB dans un communiqué. Mais faute de dérogation pour la circulation des véhicules de plus de 7,5 tonnes, « plus dune entreprise de bâtiment sur deux na pas pu assurer le bon déroulement de leurs chantiers », accuse-t-elle. Une interdiction qui va « entraîner un ralentissement de lactivité qui va se traduire par des retards pénalisant les entreprises et leurs clients », poursuit la fédération.
Ayant alerté le gouvernement début mai, la FFB dénonce une nouvelle fois « lincohérence de cette forme de solidarité consistant à faire payer les entreprises tout en les empêchant de travailler ».