Selon l'INSEE, la proportion du nombre de logements vacants par rapport au parc total, 6,8%, est la plus faible depuis trente ans. Les appartements sont les premiers concernés.
En 2002, les deux millions de logements vacants ne représentaient plus que 6,8% du parc, soit le taux le plus bas depuis la fin des années soixante, selon une enquête que vient de publier l'Institut National des Statistiques et Etudes Economiques, qui s'est déroulée de décembre 2001 à février 2002 sur un échantillon de 45.000 logements.
Parmi les logements inoccupés, 51% sont des appartements alors que l'habitat collectif ne représente que 43% du parc total. C'est dans l'agglomération parisienne que le taux de vacance est le plus bas (6,2%), mais c'est dans les communes rurales qu'il a le plus baissé, passant de 9,3% à 6,8%.
" L'institution, à partir de 1999, d'une taxe sur les logements vacants dans les agglomérations de plus de 200.000 habitants n'expliquerait donc que très partiellement ce résultat ", a indique l'Institut.
Le parc des logements vacants est anciens. Plus de la moitié (54,4%) a été construit avant la seconde guerre mondiale, contre un tiers seulement des résidences principales. " Une partie de ces logements appartient à un parc vétuste, inadapté aux besoins et qui ne trouve plus preneur ", souligne l'INSEE.
Par ailleurs, la croissance du parc des résidences principales a ralenti entre 1996 et 2002, au rythme de 250.000 logements par an, par rapport à la période 1992-1996, où 290.000 logements étaient construits annuellement.
Au 1er janvier 2002, il y avait en France métropolitaine 29,5 millions de logements, dont 24,5 millions en résidences principales.
Parmi les logements inoccupés, 51% sont des appartements alors que l'habitat collectif ne représente que 43% du parc total. C'est dans l'agglomération parisienne que le taux de vacance est le plus bas (6,2%), mais c'est dans les communes rurales qu'il a le plus baissé, passant de 9,3% à 6,8%.
" L'institution, à partir de 1999, d'une taxe sur les logements vacants dans les agglomérations de plus de 200.000 habitants n'expliquerait donc que très partiellement ce résultat ", a indique l'Institut.
Le parc des logements vacants est anciens. Plus de la moitié (54,4%) a été construit avant la seconde guerre mondiale, contre un tiers seulement des résidences principales. " Une partie de ces logements appartient à un parc vétuste, inadapté aux besoins et qui ne trouve plus preneur ", souligne l'INSEE.
Par ailleurs, la croissance du parc des résidences principales a ralenti entre 1996 et 2002, au rythme de 250.000 logements par an, par rapport à la période 1992-1996, où 290.000 logements étaient construits annuellement.
Au 1er janvier 2002, il y avait en France métropolitaine 29,5 millions de logements, dont 24,5 millions en résidences principales.