Comme sur le tunnel, les équipes du projet doivent s'attacher à impacter au minimum l'environnement qui entoure le viaduc. Avec des contraintes peut-être plus fortes encore puisque l'ouvrage est au milieu d'un parc naturel. "Nous devons faire attention aux nuisances sonores, mais aussi lumineuses", explique Ludovic Vergne. Les équipes travaillent sur l'ouvrage avec des éclairages aux lumens "faibles" pour notamment affecter le moins possible les chauves-souris d'une race endémique identifiées non loin du chantier.
Pour ne pas impacter le trafic local, le groupement a là aussi construit sa propre piste temporaire, prenant la forme d'une jetée provisoire le long du tracé du viaduc. Ce qui facilite, en plus, la circulation sur le chantier.