A loccasion de la journée mondiale de lEnvironnement, des dizaines de bateaux de transport fluvial de marchandises et de matériaux circuleront mardi sur la Seine, en affichant des banderoles délivrant le message «Sur la Seine, je transporte propre».
Les 22 millions de tonnes de marchandises transportées par voie deau chaque année désengorgent les routes dIle-de-France dun million de camions en moins. De nombreux industriels dont des fabricants de matériaux de construction ont décidé dy participer via leurs péniches de transport fluvial.
Plus de 100 péniches de différentes compagnies (Cemex, Lafarge ) affichent ce mardi, journée mondiale de lEnvironnement, une grande banderole affichant «Sur Seine, je transporte propre».
Il sagit dune manière symbolique de sengager pour lenvironnement, tout en délivrant un message à destination du grand public, qui pourra observer toute la journée les banderoles sur les péniches dans toute lIle-de-France.
Une démarche initiée par le Port autonome de Paris dans le but de sensibiliser les franciliens sur ce mode de transport certes lent mais ponctuel, relativement peu nuisant aux niveaux sonore et visuel, et moins polluant que lacheminement par la route. Un convoi fluvial de 5.000 tonnes équivaut en effet à 250 camions de 20 tonnes, et génère quatre fois moins de CO2. Avec cinq litres de carburant pour une tonne de marchandises, un camion ne sillonne que 100 kilomètres là où le bateau de marchandises en parcourt 500.
Plus de 100 péniches de différentes compagnies (Cemex, Lafarge ) affichent ce mardi, journée mondiale de lEnvironnement, une grande banderole affichant «Sur Seine, je transporte propre».
Il sagit dune manière symbolique de sengager pour lenvironnement, tout en délivrant un message à destination du grand public, qui pourra observer toute la journée les banderoles sur les péniches dans toute lIle-de-France.
Une démarche initiée par le Port autonome de Paris dans le but de sensibiliser les franciliens sur ce mode de transport certes lent mais ponctuel, relativement peu nuisant aux niveaux sonore et visuel, et moins polluant que lacheminement par la route. Un convoi fluvial de 5.000 tonnes équivaut en effet à 250 camions de 20 tonnes, et génère quatre fois moins de CO2. Avec cinq litres de carburant pour une tonne de marchandises, un camion ne sillonne que 100 kilomètres là où le bateau de marchandises en parcourt 500.