"Respirer, prendre un bain de soleil et se connecter à la nature sont des besoins vitaux que le mode de vie urbain n'est plus en mesure de garantir", considère Olivier Raffaëlli. "Pour résister à l'expansion urbaine - non viable par nature - la ville doit offrir cette expérience en plus de stimuler la corrélation entre les espaces extérieurs et intérieurs dans les zones bâties."
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Ce bâtiment "vivant" répond à des enjeux de confort thermique et d'efficacité énergétique. "Nous avons exploré toutes les surfaces disponibles pour potentialiser la verdure et éviter le gaspillage d'énergie et de carbone", raconte Guillaume Sibaud.