Les forces de l’ordre venus mercredi pour évacuer un camps dans le Val d’Oise ont finalement renoncé à expulser la centaine de personnes, faute de voitures en état de marche.
Une ordonnance d’expulsion émanant du tribunal de grande instance de Pontoise n’a pas ou être menée à son terme mercredi. L’évacuation d’une centaine de Roms d’un terrain de Bessancourt (95) appartenant à la Ville de Paris a été annulée, les Roms n’ayant pas assez de voiture en état de marche pour dégager la quarantaine de caravanes.
En revanche, la police aurait rassemblé les caravanes les unes contre les autres pour que l’on ne puisse pas y accéder, et la plupart des personnes vivant dans ce camp ont passé la nuit hors du terrain. Selon la préfecture, les caravanes seront mises en fourrière. Suite à un contrôle d’identité, 31 arrêtés préfectoraux de reconduites aux frontières et 13 obligations de quitter le territoire ont été prises à l’égard des personnes vivant sur ce camp, essentiellement des Roumains.
En revanche, la police aurait rassemblé les caravanes les unes contre les autres pour que l’on ne puisse pas y accéder, et la plupart des personnes vivant dans ce camp ont passé la nuit hors du terrain. Selon la préfecture, les caravanes seront mises en fourrière. Suite à un contrôle d’identité, 31 arrêtés préfectoraux de reconduites aux frontières et 13 obligations de quitter le territoire ont été prises à l’égard des personnes vivant sur ce camp, essentiellement des Roumains.
