LUnion européenne se réunit jeudi et vendredi pour discuter du réchauffement climatique et des moyens à mettre en uvre pour réduire les émissions de gaz à effets de serre de 20% dici 2020. Même si, sur le principe, les 27 sont daccord, ils restent divisés sur les moyens pour y parvenir.
«Plus nous serons capables de montrer le bon exemple, plus nous pourrons convaincre et engager les autres», a déclaré Angela Merkel, présidente de lUnion européenne jusquau mois de juin.
Les 27 pays de lUnion européenne devraient ainsi se mettre daccord vendredi pour «réduire les émissions de gaz à effet de serre dau moins de 20% dici 2020 par rapport à 1990». Toutefois, ils risquent de saffronter sur les moyens datteindre cet objectif. En effet, la France mais aussi la Finlande et certains pays de lEst souhaitent privilégier le nucléaire alors que lAllemagne défend les énergies renouvelables (éolienne, hydraulique, géothermique, solaire ).
A la différence du nucléaire, les énergies renouvelables «doivent encore être pleinement développées», a expliqué la chancelière allemande. Cette dernière veut éviter tout débat houleux avec les pays farouchement opposés au nucléaire, comme lAutriche, lIrlande mais également la Belgique ou lItalie. «Ce serait absurde de dire que lénergie nucléaire est une énergie verte. Ce serait un mauvais signal de lEurope. Le nucléaire nest pas la bonne réponse à la crise climatique», a quant à lui souligné le chancelier autrichien Alfred Gusenbauer, revenant par la suite sur les problèmes de sécurité et de traitement des déchets de cette énergie.
Les dirigeants européens devront donc se mettre daccord sur le contenu de la déclaration qui doit être publiée le 25 mars pour le 50ème anniversaire du traité de Rome.
Avec cet engagement, lUE espère montrer lexemple afin dassocier dans un futur accord international les Etats-Unis, qui nont pas ratifié le protocole de Kyoto visant à lutter contre les émissions de gaz à effet de serre mais également impliquer les pays émergents comme la Chine, lInde ou encore le Brésil. La prochaine grande étape est prévue en décembre à Bali, lors de la prochaine conférence de lONU sur le climat.
Les 27 pays de lUnion européenne devraient ainsi se mettre daccord vendredi pour «réduire les émissions de gaz à effet de serre dau moins de 20% dici 2020 par rapport à 1990». Toutefois, ils risquent de saffronter sur les moyens datteindre cet objectif. En effet, la France mais aussi la Finlande et certains pays de lEst souhaitent privilégier le nucléaire alors que lAllemagne défend les énergies renouvelables (éolienne, hydraulique, géothermique, solaire ).
A la différence du nucléaire, les énergies renouvelables «doivent encore être pleinement développées», a expliqué la chancelière allemande. Cette dernière veut éviter tout débat houleux avec les pays farouchement opposés au nucléaire, comme lAutriche, lIrlande mais également la Belgique ou lItalie. «Ce serait absurde de dire que lénergie nucléaire est une énergie verte. Ce serait un mauvais signal de lEurope. Le nucléaire nest pas la bonne réponse à la crise climatique», a quant à lui souligné le chancelier autrichien Alfred Gusenbauer, revenant par la suite sur les problèmes de sécurité et de traitement des déchets de cette énergie.
Les dirigeants européens devront donc se mettre daccord sur le contenu de la déclaration qui doit être publiée le 25 mars pour le 50ème anniversaire du traité de Rome.
Avec cet engagement, lUE espère montrer lexemple afin dassocier dans un futur accord international les Etats-Unis, qui nont pas ratifié le protocole de Kyoto visant à lutter contre les émissions de gaz à effet de serre mais également impliquer les pays émergents comme la Chine, lInde ou encore le Brésil. La prochaine grande étape est prévue en décembre à Bali, lors de la prochaine conférence de lONU sur le climat.