Une loi permettant pour la première fois aux étrangers de devenir légalement propriétaire de biens immobiliers à Dubaï a été votée par lémir Cheikh Mohammad Ben Rached al-Maktoum.
La nouvelle loi, adoptée par lémir de cette île en plein essor, « octroie aux étrangers, sur approbation de lémir et dans des lieux quil désigne dans lémirat, le droit de devenir propriétaire foncier à titre complet et sans limite de temps ». Le texte offre également le droit aux étrangers de « bénéficier (de la propriété) ou de louer (leur bien) pour une période ne dépassant pas 99 ans ».
Les promoteurs immobiliers de Dubaï réclamaient depuis longtemps la mise en place dun cadre légal permettant aux étrangers de devenir officiellement propriétaires. Un moyen pour eux dencourager les investissements étrangers dans lémirat.
En effet, jusquà présent, les étrangers qui accédaient à la propriété ne disposaient que dun simple titre délivré par le promoteur immobilier et leur bien nétait pas enregistré légalement. Le droit à la propriété était ainsi limité aux citoyens des Emirats arabes unis et aux autres pays du Conseil de Coopération du Golfe, soit lArabie Saoudite, Bahreïn, le Koweït, Oman et le Qatar.
Mohammad al-Abbar, Pdg de la société immobilière Emaar, qui est contrôlée par lémirat de Dubaï, sest ainsi réjoui de ladoption de cette loi. Il a indiqué quelle « est un véritable gain pour le marché et pour les investisseurs ». Le Pdg a par ailleurs confié au quotidien Al-Bayan que « les immenses et nombreux projets de construits ( ) sont maintenant à labri des problèmes qui seraient apparus si la question du libre achat était restée en suspens », avant de souligner que « la loi multiplie les canaux de financement dachat de propriétés ».
Les promoteurs immobiliers de Dubaï réclamaient depuis longtemps la mise en place dun cadre légal permettant aux étrangers de devenir officiellement propriétaires. Un moyen pour eux dencourager les investissements étrangers dans lémirat.
En effet, jusquà présent, les étrangers qui accédaient à la propriété ne disposaient que dun simple titre délivré par le promoteur immobilier et leur bien nétait pas enregistré légalement. Le droit à la propriété était ainsi limité aux citoyens des Emirats arabes unis et aux autres pays du Conseil de Coopération du Golfe, soit lArabie Saoudite, Bahreïn, le Koweït, Oman et le Qatar.
Mohammad al-Abbar, Pdg de la société immobilière Emaar, qui est contrôlée par lémirat de Dubaï, sest ainsi réjoui de ladoption de cette loi. Il a indiqué quelle « est un véritable gain pour le marché et pour les investisseurs ». Le Pdg a par ailleurs confié au quotidien Al-Bayan que « les immenses et nombreux projets de construits ( ) sont maintenant à labri des problèmes qui seraient apparus si la question du libre achat était restée en suspens », avant de souligner que « la loi multiplie les canaux de financement dachat de propriétés ».