Jusqu’alors difficilement accessible aux fabricants de menuiserie européens - du fait des fortes spécificités locales - le marché amériacain s'ouvre peu à peu aux produits "made in Europe".
56 millions d’unités de fenêtres se vendent chaque année sur le marché de l'habitation aux Etats-Unis indique une étude menée par le cabinet Interconnection. Des menuiseries intégrant en grande majorité des vitrages simple. Un "luxe" possible grâce à des coûts en énergie faibles, auxquels viennent s’ajouter peu ou pas d’impôts, ainsi qu’un climat adéquat dans certains états. Cependant, la situation évolue et l'on constate que de plus en plus d'Etats adaptent leur propres directives de construction.
Pour exemple, dans les zones côtières de l’Etat de New york sont entrées en vigueur, en janvier 2003, les nouvelles "Building Codes" qui régulent entre autre la résistance au vent des fenêtres. Ces réglementations ont été empruntés à la Floride, où elles existent depuis deux ans.
Ainsi, les régions sont divisées en "Win Speed Zones" 1 (résistance à des vents de 120 miles/heure maximum), 2 (130 miles/heure maximum) et 3 (vitesse supérieure). En même temps, les coefficients de conductibilité thermique des vitrages ont été baissés.
Du coup, de nombreux constructeurs se sont trouvés devant une impasse. Même si leurs fenêtres à vitrage simple passe la réglementation du "Win Speed Zones", elles ne satisfaisent pas les exigences en matière d’efficacité énergétique. Le problème pourrait être résolu avec un vitrage isolant, mais du coup se pose des problèmes pour le "Win Speed Zones".
Dans ce contexte, les fenêtres européennes semblent devenir une alternative intéressante comme le prouve, Panoramic European Windows and Doors, une société spécialisée dans l’import de fenêtres européennes aux Etats-Unis. Ces menuiseries produites en Autriche, puis exportées en Amérique sont des oscillo-battantes, mais, plus surprenant on trouve aussi la très classique fenêtre coulissante.
Cette activité a permi à Panoramic European Windows and Doors d’augmenter, en 2002, son chiffre d’affaires à 2,8 millions de dollars. L’objectif dans l’avenir est de passer à 10 millions par an, si la société trouve des fabricants qui possèdent la volonté et la capcité à exporter.
"Quand on voit les sous-capacités en Allemagne ou en Autriche, nous devrions être submergé de demande d’entreprises qui veulent exporter. Malheureusement, nous remarquons rien de tout ça" indique Franz Muster dirigeant de Panoramic European Windows and Doors.
En cause peut-être une spécificité du marché américain : la fenêtre bois bénéficie encore et toujours d’un popularité intacte dans les maisons individuelles. Alors avis aux professionnels. D’ailleurs, la société est à la recherche de partenaires pour un bâtiment à New jersey City (1.200 unités en bois-alu) et pour un immeuble de bureaux à Atlantic City (fenêtres PVC-alu).
Pour exemple, dans les zones côtières de l’Etat de New york sont entrées en vigueur, en janvier 2003, les nouvelles "Building Codes" qui régulent entre autre la résistance au vent des fenêtres. Ces réglementations ont été empruntés à la Floride, où elles existent depuis deux ans.
Ainsi, les régions sont divisées en "Win Speed Zones" 1 (résistance à des vents de 120 miles/heure maximum), 2 (130 miles/heure maximum) et 3 (vitesse supérieure). En même temps, les coefficients de conductibilité thermique des vitrages ont été baissés.
Du coup, de nombreux constructeurs se sont trouvés devant une impasse. Même si leurs fenêtres à vitrage simple passe la réglementation du "Win Speed Zones", elles ne satisfaisent pas les exigences en matière d’efficacité énergétique. Le problème pourrait être résolu avec un vitrage isolant, mais du coup se pose des problèmes pour le "Win Speed Zones".
Dans ce contexte, les fenêtres européennes semblent devenir une alternative intéressante comme le prouve, Panoramic European Windows and Doors, une société spécialisée dans l’import de fenêtres européennes aux Etats-Unis. Ces menuiseries produites en Autriche, puis exportées en Amérique sont des oscillo-battantes, mais, plus surprenant on trouve aussi la très classique fenêtre coulissante.
Cette activité a permi à Panoramic European Windows and Doors d’augmenter, en 2002, son chiffre d’affaires à 2,8 millions de dollars. L’objectif dans l’avenir est de passer à 10 millions par an, si la société trouve des fabricants qui possèdent la volonté et la capcité à exporter.
"Quand on voit les sous-capacités en Allemagne ou en Autriche, nous devrions être submergé de demande d’entreprises qui veulent exporter. Malheureusement, nous remarquons rien de tout ça" indique Franz Muster dirigeant de Panoramic European Windows and Doors.
En cause peut-être une spécificité du marché américain : la fenêtre bois bénéficie encore et toujours d’un popularité intacte dans les maisons individuelles. Alors avis aux professionnels. D’ailleurs, la société est à la recherche de partenaires pour un bâtiment à New jersey City (1.200 unités en bois-alu) et pour un immeuble de bureaux à Atlantic City (fenêtres PVC-alu).
