Le gouvernement a exprimé mercredi de «fortes réserves» sur le projet du schéma directeur de la région Ile-de-France (SDRIF), notamment sur «le contenu des dispositions retenues et sur le plan juridique».
Le gouvernement vient de rendre son avis sur le projet du SDRIF. Il exprime «sur le document soumis à enquête, des réserves fortes, qui portent à la fois sur le contenu des dispositions retenues et sur sa fragilité juridique».
Pour l'Etat, le SDRIF n'est pas suffisamment ambitieux pour permettre à la région de rivaliser avec les grandes régions mondiales.
Dans son avis, rendu public mercredi, l'Etat estime que «certains enjeux majeurs pour l'Ile-de-France, mais également pour l'ensemble du territoire national, comme la relance de la construction de logements ou le renforcements de facteurs d'attractivité, ne sont pas appréhendés de façon satisfaisante pour permettre un développement à la hauteur des perspectives stratégiques qu'exige l'importance de la région capitale».
L'Etat reproche également à la région son manque de «volontarisme» sur les projets de développement des transports en commun, ou de ne pas susciter «les conditions d'une optimisation du marché de l'immobilier d'entreprise».
Sur le plan juridique, le projet du SDRIF comporte selon l'Etat «des dispositions inappropriées au regard de la législation, de la réglementation ou de la répartition des compétences entre les collectivités. De même l'imprécision de sa rédaction rendrait le schéma difficile à appliquer».
Pour l'Etat, le SDRIF n'est pas suffisamment ambitieux pour permettre à la région de rivaliser avec les grandes régions mondiales.
Dans son avis, rendu public mercredi, l'Etat estime que «certains enjeux majeurs pour l'Ile-de-France, mais également pour l'ensemble du territoire national, comme la relance de la construction de logements ou le renforcements de facteurs d'attractivité, ne sont pas appréhendés de façon satisfaisante pour permettre un développement à la hauteur des perspectives stratégiques qu'exige l'importance de la région capitale».
L'Etat reproche également à la région son manque de «volontarisme» sur les projets de développement des transports en commun, ou de ne pas susciter «les conditions d'une optimisation du marché de l'immobilier d'entreprise».
Sur le plan juridique, le projet du SDRIF comporte selon l'Etat «des dispositions inappropriées au regard de la législation, de la réglementation ou de la répartition des compétences entre les collectivités. De même l'imprécision de sa rédaction rendrait le schéma difficile à appliquer».