Les autorités new-yorkaises annonceront jeudi le nom du vainqueur du concours international d'architecture pour la reconstruction du World Trade Center.
A l'issue d'une compétition à laquelle 407 cabinets d'architecture et d'urbanisme du monde entier ont pris part, il ne reste plus aujourd'hui que deux projets en lice: celui de l'architecte berlinois Daniel Libeskind, auteur notamment du Musée juif de Berlin, et celui d'une équipe d'architectes installés à New York, baptisée "THINK", comprenant entre autres l'architecte uruguayen Rafael Vinoly.
Suite à une vaste campagne de consultation des new-yorkais et du public, que certains ont toutefois jugée insuffisante, le choix sera arrêté par une commission comprenant des représentants de la Lower Manhattan Development Corp. (la structure chargée de superviser la reconstruction du quartier), du gouverneur de l'Etat George Pataki, du maire de la ville Michael Bloomberg et des autorités du port de New York, propriétaires du site.
Les deux projets présélectionnés ont en commun de prévoir l'édification, à la place des tours jumelles détruites le 11 septembre 2001, des plus hauts bâtiments du monde, comme un symbole du dynamisme américain et un défi aux terroristes.
Le projet choisi sera toutefois susceptible d'être largement amendé, ont averti les autorités new-yorkaises. En clair, les architectes devront respecter les cahiers des charges de plusieurs intervenants au dossier, dont le détenteur du bail des lieux. Ils devront également tenir compte de la nécessité d'aménager les transports en commun du quartier.
Suite à une vaste campagne de consultation des new-yorkais et du public, que certains ont toutefois jugée insuffisante, le choix sera arrêté par une commission comprenant des représentants de la Lower Manhattan Development Corp. (la structure chargée de superviser la reconstruction du quartier), du gouverneur de l'Etat George Pataki, du maire de la ville Michael Bloomberg et des autorités du port de New York, propriétaires du site.
Les deux projets présélectionnés ont en commun de prévoir l'édification, à la place des tours jumelles détruites le 11 septembre 2001, des plus hauts bâtiments du monde, comme un symbole du dynamisme américain et un défi aux terroristes.
Le projet choisi sera toutefois susceptible d'être largement amendé, ont averti les autorités new-yorkaises. En clair, les architectes devront respecter les cahiers des charges de plusieurs intervenants au dossier, dont le détenteur du bail des lieux. Ils devront également tenir compte de la nécessité d'aménager les transports en commun du quartier.