La holding française Compagnie générale d'industrie et de participations (CGIP) dirigé par Ernest-Antoine Seillière a confirmé à mots voilés son intérêt pour la reprise Legrand dont doit se séparer sa maison mère hexagonale Schneider Electric.
"Nous regardons" le dossier d'une société "du centre de la France", a déclaré le Pdg de la CGIP, Ernest-Antoine Seillière, lors d'une conférence de présentation des résultats 2001 de sa holding d'investissements.
"Nous ne pouvons ni infirmer, ni confirmer quoi que ce soit", a indiqué M. Seillière en évoquant les règles de confidentialité qui prévalent pour cette affaire.
Sans jamais citer le nom de Legrand, M. Seillière a parlé d'une "société manufacturière de très belle qualité", dotée d'une présence "internationale". Cette entreprise est "le genre de société avec laquelle nous aimerions travailler", a-t-il ajouté.
"Nous ne pouvons ni infirmer, ni confirmer quoi que ce soit", a indiqué M. Seillière en évoquant les règles de confidentialité qui prévalent pour cette affaire.
Sans jamais citer le nom de Legrand, M. Seillière a parlé d'une "société manufacturière de très belle qualité", dotée d'une présence "internationale". Cette entreprise est "le genre de société avec laquelle nous aimerions travailler", a-t-il ajouté.
