En raison de la faiblesse de l'offre et de la solidité de l'économie britanniquees, les prix de l'immobilier ont continué de progresser en février.
Selon les chiffres publiés mercredi par la banque Halifax, les prix de l'immobilier ont augmenté de 1,6% en février par rapport à janvier et la hausse en glissement annuel est de 17,8%, a indiqué Halifax (groupe HBOS), dont les données sur l'immobilier sont considérées comme le principal baromètre du marché.
En janvier, les prix avaient augmenté de 2,2% sur le mois et de 16% sur l'année.
La vigueur du marché de l'emploi et la faiblesse des taux d'intérêt continuent de soutenir le marché immobilier, souligne la banque. D'autant que l'offre est insuffisante.
Le nombre de logements construits en 2003 a augmenté de 5% par rapport à 2002, soit la plus forte hausse depuis 1997, selon les données de l'office des statistiques britanniques.
Mais "le niveau des logements disponibles reste très bas par rapport aux décennies précédentes et ne parvient pas à garder le rythme avec l'augmentation prévu du nombre de foyers au cours des vingt prochaines années", prévient Halifax.
Les ménages britanniques achètent généralement leur logement et les prix de l'immobilier sont l'un des indicateurs clés de l'économie britannique.
L'envolée des prix, qui s'était accélérée en 2001 et 2002, fait craindre à certains la possibilité d'un crash du marché, semblable à celui qui s'est produit au début des années 90. La hausse s'est ralentie en 2003 (+15,4% contre +26,4% en 2002), mais pas autant qu'attendu par les économistes.
En janvier, les prix avaient augmenté de 2,2% sur le mois et de 16% sur l'année.
La vigueur du marché de l'emploi et la faiblesse des taux d'intérêt continuent de soutenir le marché immobilier, souligne la banque. D'autant que l'offre est insuffisante.
Le nombre de logements construits en 2003 a augmenté de 5% par rapport à 2002, soit la plus forte hausse depuis 1997, selon les données de l'office des statistiques britanniques.
Mais "le niveau des logements disponibles reste très bas par rapport aux décennies précédentes et ne parvient pas à garder le rythme avec l'augmentation prévu du nombre de foyers au cours des vingt prochaines années", prévient Halifax.
Les ménages britanniques achètent généralement leur logement et les prix de l'immobilier sont l'un des indicateurs clés de l'économie britannique.
L'envolée des prix, qui s'était accélérée en 2001 et 2002, fait craindre à certains la possibilité d'un crash du marché, semblable à celui qui s'est produit au début des années 90. La hausse s'est ralentie en 2003 (+15,4% contre +26,4% en 2002), mais pas autant qu'attendu par les économistes.