Vous dites :
"De meilleurs remboursements", "Calculer la réalité des sommes dues et non pas exiger sans arrêt des montants délirants avant même qu'on ait donné le salaire", "changer le mode de calcul, avoir un coefficient et pouvoir payer au trimestre suivant ses entrées d'argent".
Gérard Quevillon, président du RSI, répond :
"Sur l'année 2011-2012, je peux souscrire à 60% à votre sujet. Aujourd'hui, on a encore des problèmes sur les remboursements qui dépassent 10.000 euros. On est en train d'imposer à l'Urssaf de rembourser dans les 20 jours le trop-perçu et de faire un contrôle après. Le gouvernement est en train de plier pour accepter, j'espère d'ici à fin 2015, le fait de rembourser d'abord et de contrôler ensuite si besoin, comme les impôts. C'est un plus que l'on doit donner à nos assurés. L'entreprise a besoin de trésorerie, si on la fait attendre, on la met en péril. Il en va de la santé de l'entreprise et de son dirigeant."
