Les résultats d’une enquête publique menée à Noisy-le-Grand (93) font apparaître un avis défavorable sur un projet urbain visant la création de 1.500 logements collectifs.
L’enquête publique portant sur un projet de création de 1.500 logements collectifs à Noisy-le-Grand (Seine-Saint-Denis) s’est conclue par un avis défavorable. Le maire Michel Pajon (PS) a «pris acte» de cet avis tout en déplorant les conclusions de cette enquête «qui, pour l’essentiel, privilégient les intérêts particuliers au détriment de l’intérêt général.»
L’enquête portait sur la déclaration d’utilité publique sur la zone d’aménagement concertée (ZAC) du Clos des Biches, à Noisy-le-Grand. Le plan de construction de logements collectifs, qui prévoyait 30% d’habitat social, 40% de logements en accession intermédiaire à la propriété et 30% de logements à l’accession libre. Il était notamment critiqué par un collectif d’habitants qui avait présenté en février un contre-projet de1.000 logements visant à préserver une zone pavillonnaire en passe d’être rasée.
Michel Pajon souhaite engager «des discussions avec tous les acteurs concernés» afin de trouver des solutions pour «répondre à l’intérêt général» et atteindre l’objectif de la région Ile-de-France de 30% de logements sociaux en 2030 sur toute la région. Dans cette ville de 60.000 habitats, 1.500 demandes de logement social ne sont pas satisfaites.
L’enquête portait sur la déclaration d’utilité publique sur la zone d’aménagement concertée (ZAC) du Clos des Biches, à Noisy-le-Grand. Le plan de construction de logements collectifs, qui prévoyait 30% d’habitat social, 40% de logements en accession intermédiaire à la propriété et 30% de logements à l’accession libre. Il était notamment critiqué par un collectif d’habitants qui avait présenté en février un contre-projet de1.000 logements visant à préserver une zone pavillonnaire en passe d’être rasée.
Michel Pajon souhaite engager «des discussions avec tous les acteurs concernés» afin de trouver des solutions pour «répondre à l’intérêt général» et atteindre l’objectif de la région Ile-de-France de 30% de logements sociaux en 2030 sur toute la région. Dans cette ville de 60.000 habitats, 1.500 demandes de logement social ne sont pas satisfaites.
