Selon l'enquête annuelle BMO (besoin de main-duvre) diffusée par lUnedic (assurance-chômage), les métiers de la construction arrivent en tête au hit parade des recrutements "les plus difficiles".
Létude révèle que le volume des projets de recrutement sélève à 1,2 millions pour 2005. Environ 323.200 entreprises envisageraient ainsi un recrutement cette année.
Lenquête met notamment en exergue les difficultés dembauche dans le secteur du BTP. Ainsi sur 728.000 projets dembauche déclarés, le secteur de la construction représente 17,5% des projets (127.700), derrière les services (61%) et le commerce (25%).
Par ailleurs, létude montre que près de la moitié des recrutements sont jugés difficiles, soit plus de 537.000 projets. Sur ce point, les métiers de la construction arrivent en tête du classement avec une part de 71% de difficultés, suivis par les activités industrielles, et plus précisément le travail des métaux (58%), la fabrication de machines et déquipements (54%) et lindustrie du bois (54%).
Enfin, parmi les cinq métiers les plus sous tensions, les maçons caracolent en tête avec une part de 82%, les ouvriers qualifiés du BTP (terrassement, béton ) arrivant quant à eux à la troisième place, à 66%.
Un constant alarmant qui pousse la FFB, la Capeb et autres fédérations du secteur à promouvoir toujours plus les métiers du bâtiment.
Lenquête met notamment en exergue les difficultés dembauche dans le secteur du BTP. Ainsi sur 728.000 projets dembauche déclarés, le secteur de la construction représente 17,5% des projets (127.700), derrière les services (61%) et le commerce (25%).
Par ailleurs, létude montre que près de la moitié des recrutements sont jugés difficiles, soit plus de 537.000 projets. Sur ce point, les métiers de la construction arrivent en tête du classement avec une part de 71% de difficultés, suivis par les activités industrielles, et plus précisément le travail des métaux (58%), la fabrication de machines et déquipements (54%) et lindustrie du bois (54%).
Enfin, parmi les cinq métiers les plus sous tensions, les maçons caracolent en tête avec une part de 82%, les ouvriers qualifiés du BTP (terrassement, béton ) arrivant quant à eux à la troisième place, à 66%.
Un constant alarmant qui pousse la FFB, la Capeb et autres fédérations du secteur à promouvoir toujours plus les métiers du bâtiment.