Après quatorze années de baisse continue, le prix moyen de l'immobilier a augmenté pour la première fois sur un an à fin juin 2005, selon une étude du ministère japonais des Transports et de l'Aménagement du Territoire (MLIT).
Entre le 1er juillet 2004 et le 31 juin 2005, le tarif de l'immobilier résidentiel dans la capitale a progressé de 0,5% et de 0,6% dans le secteur commercial, selon cette étude annuelle. Une croissance qui alimente les espoirs d'un retour à la croissance et de la fin possible de la déflation qui plombe l'économie japonaise depuis plus de sept ans.
Selon le ministère, cette progression s'explique par la croissance de la demande de bureaux et d'appartements de luxe dans le centre de la mégalopole, a expliqué le ministère.
En effet, de nouvelles tours d'habitation, ultra-modernes, voient à nouveau de terre dans des quartiers de la capitale où ne demeuraient plus que des entreprises et des commerces. De gigantesques projets urbains autour de luxueux complexes commerciaux contribuent également à attirer entreprises et particuliers dans les beaux quartiers.
«Ces données sont très positives pour l'économie japonaise. Elles montrent que les sociétés nippones ne sont plus bridées dans leurs investissements par l'interminable déflation », a commenté Junichi Makino, analyste chez Daiwa Securities.
Toutefois, seul Tokyo bénéficie pour l'instant de ce redémarrage. En effet, pour la quatorzième année consécutive, les prix dans le reste du Japon ont décliné. Antre début juillet 2004 et fin juin 2005, il sont ainsi chuté en moyenne de 3,8% dans le résidentiel et de 5% dans le secteur commercial.
En août, une autre étude conduite à partir de données et de critères différents par l'Agence nationale des impôts avait montré les mêmes tendances.
Selon le ministère, cette progression s'explique par la croissance de la demande de bureaux et d'appartements de luxe dans le centre de la mégalopole, a expliqué le ministère.
En effet, de nouvelles tours d'habitation, ultra-modernes, voient à nouveau de terre dans des quartiers de la capitale où ne demeuraient plus que des entreprises et des commerces. De gigantesques projets urbains autour de luxueux complexes commerciaux contribuent également à attirer entreprises et particuliers dans les beaux quartiers.
«Ces données sont très positives pour l'économie japonaise. Elles montrent que les sociétés nippones ne sont plus bridées dans leurs investissements par l'interminable déflation », a commenté Junichi Makino, analyste chez Daiwa Securities.
Toutefois, seul Tokyo bénéficie pour l'instant de ce redémarrage. En effet, pour la quatorzième année consécutive, les prix dans le reste du Japon ont décliné. Antre début juillet 2004 et fin juin 2005, il sont ainsi chuté en moyenne de 3,8% dans le résidentiel et de 5% dans le secteur commercial.
En août, une autre étude conduite à partir de données et de critères différents par l'Agence nationale des impôts avait montré les mêmes tendances.