Le groupe français de construction et de concessions Eiffage n'envisage plus d'investir dans l'helvético-suédois ABB, ni dans le français Fabricom (Suez) mais pourrait s'intéresser au français Cegelec.
"Le sujet (d'un investissement dans ABB, ndlr) ne me paraît plus être d'actualité. Il l'était, il y a quelques mois. Depuis ABB a coupé ce sujet en tranches (...) Si nous n'investissons pas dans ABB et si ce n'est pas non plus dans Fabricom, on peut citer le nom de Cegelec", a indiqué samedi Jean-François Roverato, Pdg d'Eiffage sur Radio Classique.
"Les actuels dirigeants (de Cegelec) ont indiqué qu'ils remettraient en vente le contrôle de la société qui fait actuellement l'objet d'un LBO ("leverage buy out", reprise par ses salariés, ndlr)", a expliqué M. Roverato.
"Nous ne sommes pas pressés et nous pensons que comme le marché européen dans ce domaine n'est pas concentré, il y aura des mouvements même s'ils ne sont pas annoncés, voire niés, à court terme", a-t-il ajouté.
Par ailleurs, interrogé sur l'estimation d'un chiffre d'affaires pour Eiffage de 7,3 milliards d'euros pour l'ensemble de 2004, faite lors de la présentation des comptes 2003, M. Roverato a déclaré que son groupe était
"plutôt en avance", "compte tenu des acquisitions" qui ont été annoncées.
"Nous aurons certainement une tendance complémentaire à la hausse et en ce qui concerne les marges, nous n'observons pas de dégradation de la situation concurrentielle", a-t-il indiqué sans plus de précision.
"Les actuels dirigeants (de Cegelec) ont indiqué qu'ils remettraient en vente le contrôle de la société qui fait actuellement l'objet d'un LBO ("leverage buy out", reprise par ses salariés, ndlr)", a expliqué M. Roverato.
"Nous ne sommes pas pressés et nous pensons que comme le marché européen dans ce domaine n'est pas concentré, il y aura des mouvements même s'ils ne sont pas annoncés, voire niés, à court terme", a-t-il ajouté.
Par ailleurs, interrogé sur l'estimation d'un chiffre d'affaires pour Eiffage de 7,3 milliards d'euros pour l'ensemble de 2004, faite lors de la présentation des comptes 2003, M. Roverato a déclaré que son groupe était
"plutôt en avance", "compte tenu des acquisitions" qui ont été annoncées.
"Nous aurons certainement une tendance complémentaire à la hausse et en ce qui concerne les marges, nous n'observons pas de dégradation de la situation concurrentielle", a-t-il indiqué sans plus de précision.