Le groupe français de BTP Eiffage a annoncé mercredi qu’il déposait une offre de rachat de l’entreprise française de travaux publics et électriques Amec Spie, tandis que son concurrent Bouygues y a finalement renoncé.
Le groupe Eiffage a déposé jeudi une offre de rachat de la société Amec Spie, qui a dégagé un bénéfice net de 115,7 millions d’euros en 2004. Des sources concordantes ont pour leur part annoncé que plusieurs sociétés d’investissement telles que PAI Partners, Wendel Investissement, Cinven ou encore CDC Entreprises, devaient également déposées une offre jeudi.
Une source proche du dossier annonce que les offres de rachat d’Amec Spie, filiale française du britannique Amec, sont comprises entre 800 millions et un milliard d’euros.
Les sociétés PAI Partners et Wendel Investissement avaient déjà été candidates au rachat de l’ancienne filiale d’Alstom, Cegelec, qui avaient finalement été reprise par le fonds LBO France en décembre dernier.
Si le directeur général délégué de Vinci, Xavier Huillard avait annoncé début mars être « intéressé » par un tel rachat et qu’il étudiait « l’opportunité d’y aller seul ou avec un partenariat extérieur », le groupe n’a pas était pour sa part en mesure jeudi de donner sa position quant à une éventuelle transaction.
Rappelons que Amec avait racheté 100% de Spie en mars 2003 et que la fusion compte désormais 23.000 salariés en Europe continentale.
Une source proche du dossier annonce que les offres de rachat d’Amec Spie, filiale française du britannique Amec, sont comprises entre 800 millions et un milliard d’euros.
Les sociétés PAI Partners et Wendel Investissement avaient déjà été candidates au rachat de l’ancienne filiale d’Alstom, Cegelec, qui avaient finalement été reprise par le fonds LBO France en décembre dernier.
Si le directeur général délégué de Vinci, Xavier Huillard avait annoncé début mars être « intéressé » par un tel rachat et qu’il étudiait « l’opportunité d’y aller seul ou avec un partenariat extérieur », le groupe n’a pas était pour sa part en mesure jeudi de donner sa position quant à une éventuelle transaction.
Rappelons que Amec avait racheté 100% de Spie en mars 2003 et que la fusion compte désormais 23.000 salariés en Europe continentale.
