Une trentaine d'obus ont été découverts, au sud de Toulouse, sur un terrain acquis par Eiffage pour la construction d'un lotissement.
Avant d'être vendu à Eiffage, ce terrain a appartenu à la SNPE (Société nationale des poudres et explosifs), selon des informations concordantes recues par AFP.
Ce sont des travaux de terrassement en vue d'un projet de lotissement de la société Eiffage à Fauga, à une trentaine de km au sud de Toulouse, qui ont permis de mettre à jour ces explosifs, a indiqué le maire Jean-Claude Cambus.
Ces obus se trouvaient à quatre ou cinq mètres sous terre, dans un «fourneau», un trou dans lequel sont réunis les explosifs destinés à la destruction, a-t-on indiqué auprès de la préfecture de la Haute-Garonne.
Aucune évacuation de la population n'a été décidée «en raison de l'absence de danger et de la grande superficie du terrain concerné, dont les accès ont été aussitôt interdits au public», a précisé M. Cambus.
Le terrain, qui avait été la propriété du ministère de la défense avant d'être détenu par la SNPE, a été vendu à la société Eiffage, dont le projet envisage 187 lots. Des équipes de la sécurité civile de Toulouse ont déjà fait exploser quelques-uns de ces engins, a précisé le directeur de cabinet du préfet. D'autres explosifs ont été transférés à Bordeaux, a ajouté le maire du Fauga.
Ce sont des travaux de terrassement en vue d'un projet de lotissement de la société Eiffage à Fauga, à une trentaine de km au sud de Toulouse, qui ont permis de mettre à jour ces explosifs, a indiqué le maire Jean-Claude Cambus.
Ces obus se trouvaient à quatre ou cinq mètres sous terre, dans un «fourneau», un trou dans lequel sont réunis les explosifs destinés à la destruction, a-t-on indiqué auprès de la préfecture de la Haute-Garonne.
Aucune évacuation de la population n'a été décidée «en raison de l'absence de danger et de la grande superficie du terrain concerné, dont les accès ont été aussitôt interdits au public», a précisé M. Cambus.
Le terrain, qui avait été la propriété du ministère de la défense avant d'être détenu par la SNPE, a été vendu à la société Eiffage, dont le projet envisage 187 lots. Des équipes de la sécurité civile de Toulouse ont déjà fait exploser quelques-uns de ces engins, a précisé le directeur de cabinet du préfet. D'autres explosifs ont été transférés à Bordeaux, a ajouté le maire du Fauga.
