L'Association des entreprises pour la réduction de l'effet de serre (AERES) a annoncé être "en avance" de 8% sur l'objectif qu'elle s'était assignée pour réduire les gaz à effet de serre pour l'année 2003.
Pour 2003, l'AERES s'était fixée un objectif de 129 millions de tonnes équivalent CO2. Elle est parvenue à un résultat de 118 millions de tonnes.
L'AERES, créée en 2002 par les associations patronales du Medef (Mouvement des entreprises de France), de l'AFEP-AGREF (Association française des entreprises privées) et d'Entreprises pour l'environnement (EPE), comprend 34 entreprises.
En France, l'industrie représente un tiers des émissions de gaz à effet de serre et les entreprises adhérentes à l'AERES, comme Lafarge, Saint-Gobain ou encore EDF, représentent 60% des émissions de gaz à effet de serre de l'industrie française, a précisé son président Yves-René Nanot, aussi président de Ciments Français.
Outre les efforts des entreprises, le résultat 2003 s'explique aussi par une conjoncture économique moins bonne que prévue et une baisse des émissions dans le secteur de l'énergie, a précisé M. Nanot lors d'une conférence de presse.
Pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre, pas seulement le CO2 mais aussi de cinq autres gaz, les entreprises de l'AERES investissent dans des équipements plus performants, diversifient leurs sources d'énergie...
Compte tenu de la hausse de l'activité dans le ciment et le verre, M. Nanot a précisé que ces secteurs auraient du mal en 2004 à satisfaire leurs engagements en matière de réduction d'émissions de C02.
L'association publiera au cours du premier semestre 2005 les chiffres de l'année 2004.
L'AERES, créée en 2002 par les associations patronales du Medef (Mouvement des entreprises de France), de l'AFEP-AGREF (Association française des entreprises privées) et d'Entreprises pour l'environnement (EPE), comprend 34 entreprises.
En France, l'industrie représente un tiers des émissions de gaz à effet de serre et les entreprises adhérentes à l'AERES, comme Lafarge, Saint-Gobain ou encore EDF, représentent 60% des émissions de gaz à effet de serre de l'industrie française, a précisé son président Yves-René Nanot, aussi président de Ciments Français.
Outre les efforts des entreprises, le résultat 2003 s'explique aussi par une conjoncture économique moins bonne que prévue et une baisse des émissions dans le secteur de l'énergie, a précisé M. Nanot lors d'une conférence de presse.
Pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre, pas seulement le CO2 mais aussi de cinq autres gaz, les entreprises de l'AERES investissent dans des équipements plus performants, diversifient leurs sources d'énergie...
Compte tenu de la hausse de l'activité dans le ciment et le verre, M. Nanot a précisé que ces secteurs auraient du mal en 2004 à satisfaire leurs engagements en matière de réduction d'émissions de C02.
L'association publiera au cours du premier semestre 2005 les chiffres de l'année 2004.