EDF et l’électricien américain Constellation Energy (CEG) ont signé un accord portant sur le développement conjoint de centrales nucléaires de type EPR aux Etats-Unis. Le partenariat démarre par la construction de quatre centrales nucléaires.
«Ce partenariat fait suite à l’accord-cadre de coopération annoncé le 1er juin 2006 entre les deux sociétés selon lequel elles s’engageaient à coopérer pour favoriser le développement de centrales nucléaires de nouvelle génération de type EPR aux Etats-Unis, avec des standards de performance élevés et un très haut niveau de sûreté», précise EDF dans un communiqué.
Selon les termes du partenariat, EDF versera un apport initial de 350 millions de dollars à la joint-venture. En outre, EDF pourrait ultérieurement apporter des contributions pouvant atteindre au total 275 millions de dollars, au fur et à mesure de la réalisation des principales étapes des projets de réalisation d’EPR. En contrepartie, Constellation Energy prévoit d’apporter sa participation dans UniStar Nuclear et de développer jusqu’à quatre centrales EPR standardisées sur les sites de Calvert Cliffs Nuclear Power Plant, Nine Mile Point Nuclear Station and R.E. Ginna Nuclear Plant.
En outre, l’accord prévoit qu’EDF pourrait acquérir sur le marché jusqu’à 9,9% du capital de CEG, dont 5% dans les douze premiers mois. EDF et CEG ont également signé un accord de coopération leur permettant d’étudier des développements potentiels conjoints des deux sociétés aux Etats-Unis.
Construction de quatre centrales nucléaires aux Etats-Unis
Dans l’immédiat, l'accord entre EDF et Constellation Energy porte sur la construction de quatre centrales nucléaires de type EPR aux Etats-Unis, indiquait lundi au Figaro, le Pdg d’EDF, Pierre Gadonneix. Il y a aujourd'hui 28 projets nucléaires aux Etats-Unis avec plusieurs technologies. Selon Pierre Gadonneix, «l'accord avec Constellation, parce qu'il porte sur quatre EPR, permet de dégager un effet de série forcément très intéressant dans la perspective d'un développement futur». Le besoin américain de nouvelles capacités de production est estimé à 350.000 MW - soit plus de trois fois la puissance totale dont dispose EDF en France - à l'horizon 2030. «Le marché américain constitue donc un formidable relais de croissance pour notre entreprise. D'une certaine manière, EDF redémarre aujourd'hui une grande période de développement, équivalente à celle des années 1970-1980, pendant lesquelles le parc nucléaire français s'est constitué».
Selon les termes du partenariat, EDF versera un apport initial de 350 millions de dollars à la joint-venture. En outre, EDF pourrait ultérieurement apporter des contributions pouvant atteindre au total 275 millions de dollars, au fur et à mesure de la réalisation des principales étapes des projets de réalisation d’EPR. En contrepartie, Constellation Energy prévoit d’apporter sa participation dans UniStar Nuclear et de développer jusqu’à quatre centrales EPR standardisées sur les sites de Calvert Cliffs Nuclear Power Plant, Nine Mile Point Nuclear Station and R.E. Ginna Nuclear Plant.
En outre, l’accord prévoit qu’EDF pourrait acquérir sur le marché jusqu’à 9,9% du capital de CEG, dont 5% dans les douze premiers mois. EDF et CEG ont également signé un accord de coopération leur permettant d’étudier des développements potentiels conjoints des deux sociétés aux Etats-Unis.
Construction de quatre centrales nucléaires aux Etats-Unis
Dans l’immédiat, l'accord entre EDF et Constellation Energy porte sur la construction de quatre centrales nucléaires de type EPR aux Etats-Unis, indiquait lundi au Figaro, le Pdg d’EDF, Pierre Gadonneix. Il y a aujourd'hui 28 projets nucléaires aux Etats-Unis avec plusieurs technologies. Selon Pierre Gadonneix, «l'accord avec Constellation, parce qu'il porte sur quatre EPR, permet de dégager un effet de série forcément très intéressant dans la perspective d'un développement futur». Le besoin américain de nouvelles capacités de production est estimé à 350.000 MW - soit plus de trois fois la puissance totale dont dispose EDF en France - à l'horizon 2030. «Le marché américain constitue donc un formidable relais de croissance pour notre entreprise. D'une certaine manière, EDF redémarre aujourd'hui une grande période de développement, équivalente à celle des années 1970-1980, pendant lesquelles le parc nucléaire français s'est constitué».
