Un film tourné il y a quelques semaines dans les locaux d’une usine d’EDF en Bretagne suscite l’embarras de la compagnie d’électricité. Un employé du site aurait permis l’accès à des tierces personnes pour le tournage d’une vidéo… pornographique.
C’est un film d’un genre pas tout à fait institutionnel qui a été tourné il y a quelques semaines dans les locaux administratifs du barrage de la Rance, entre Saint-Malo et Dinard, en Ile-et-Vilaine. Selon le quotidien Ouest France, le groupement d’exploitation hydraulique EDF grand Ouest, propriétaire des lieux, a porté plainte auprès de la police après avoir appris «par hasard» qu’une vidéo pornographique avait été tournée dans ses locaux, une usine marémotrice produisant de l’électricité grâce aux mouvements des marées.
Selon les propos du directeur du groupement relayés par le quotidien, le procureur de la République de Saint-Malo n’aurait pas donné suite à la plainte, étant donné qu’il n’y a pas eu d’effraction et que le film aurait été tourné entre personnes majeures. Sur la vidéo, qui aurait été diffusée sur Internet, rien ne permettrait, non plus, de distinguer les lieux du tournage. Reste que la direction de l’usine a entamé une enquête interne pour en savoir plus sur les circonstances de l’événement. L’affaire a également été transmise à la préfecture d’Ile-et-Vilaine, pour savoir s’il y a eu manquement à la sécurité. L’accès à l’usine est en effet interdit au public, dans le cadre du plan Vigipirate.
Selon les propos du directeur du groupement relayés par le quotidien, le procureur de la République de Saint-Malo n’aurait pas donné suite à la plainte, étant donné qu’il n’y a pas eu d’effraction et que le film aurait été tourné entre personnes majeures. Sur la vidéo, qui aurait été diffusée sur Internet, rien ne permettrait, non plus, de distinguer les lieux du tournage. Reste que la direction de l’usine a entamé une enquête interne pour en savoir plus sur les circonstances de l’événement. L’affaire a également été transmise à la préfecture d’Ile-et-Vilaine, pour savoir s’il y a eu manquement à la sécurité. L’accès à l’usine est en effet interdit au public, dans le cadre du plan Vigipirate.
