Pour Jacques-Philippe Charpy, président de l'Union nationale des économistes de la construction et des coordinateurs (UNTEC), l'économiste est - avec les architectes et les ingénieurs - une des trois composantes essentielles de la maîtrise d'oeuvre.
Qu?il est loin le temps du toiseur où même du métreur. Aujourd'hui, ces métiers ont laissé place à celui d'économiste de la construction. Ce professionnel libéral et indépendant, intervient dans toutes les phases de la construction depuis l'intention de construire du maître d'ouvrage jusqu'à la gestion du bâtiment en passant par les phases de programmation, d'études et de conception puis de réalisation. En cela, «c'est une des trois composantes essentielles de la maîtrise d'oeuvre» indique Jacques-Philippe Charpy, rencontré à Batimat sur le stand «La maîtrise d'oeuvre, une équipe».
S'il est désormais reconnu de toute la profession, le métier d'économiste ne cesse d'évoluer et de s'adapter en fonction des besoins. «La profession est en devenir et les nouvelles missions qu'elle aborde l'amène à développer son positionnement pour une prestation plus à même de satisfaire ses clients. A ce titre les groupes de travail de l'UNTEC participent à l'élaboration de nouveaux outils d'aide à la décision en appui des missions de conseil vers les maîtres d'ouvrage et les collectivités territoriales» explique Jacques-Philippe Charpy.
Un leitmotiv pour ces professionnels : être le garant des coûts par une fiabilité accrue de leurs estimations notamment. Mais pour Jacques-Philippe Charpy, les économistes «entendent aussi dans leurs activités d'ingénierie technique, économique et plus généralement de maîtrise d'oeuvre mériter la confiance qui leur est témoignée par la rigueur que l'on attend d'eux».
Cette tendance vers une ouverture accrue des métiers de l'économiste devrait être au centre des débats lors du prochain congrès de l'UNTEC. «La prospective est une donnée permanente dans la réflexion de l'équipe dirigeante de l'UNTEC. Ce n'est pas par hasard si notre prochain congrès qui se tiendra à Besançon du 2 au 4 juin 2004 a pris pour thème : Economistes des métiers d'avenir» explique Jacques-Philippe Charpy.
En attendant, l'UNTEC multiplie les actions comme la participation au sein des structures européennes pour une uniformisation des modes de métré, le travail sur les formations supérieures bâtiment et génie civil, où encore l'information auprès des jeunes y compris «dans les petites classes», dont des actions seront entreprises très prochainement et relayées par les «régions UNTEC».
Pour cela, les représentants des économistes de la construction s'appuient principalement sur la réalisation de manifestations professionnelles mais également l'édition de la revue «Economie et Construction» ainsi que sur un nouveau site internet : www.untec.com.
S'il est désormais reconnu de toute la profession, le métier d'économiste ne cesse d'évoluer et de s'adapter en fonction des besoins. «La profession est en devenir et les nouvelles missions qu'elle aborde l'amène à développer son positionnement pour une prestation plus à même de satisfaire ses clients. A ce titre les groupes de travail de l'UNTEC participent à l'élaboration de nouveaux outils d'aide à la décision en appui des missions de conseil vers les maîtres d'ouvrage et les collectivités territoriales» explique Jacques-Philippe Charpy.
Un leitmotiv pour ces professionnels : être le garant des coûts par une fiabilité accrue de leurs estimations notamment. Mais pour Jacques-Philippe Charpy, les économistes «entendent aussi dans leurs activités d'ingénierie technique, économique et plus généralement de maîtrise d'oeuvre mériter la confiance qui leur est témoignée par la rigueur que l'on attend d'eux».
Cette tendance vers une ouverture accrue des métiers de l'économiste devrait être au centre des débats lors du prochain congrès de l'UNTEC. «La prospective est une donnée permanente dans la réflexion de l'équipe dirigeante de l'UNTEC. Ce n'est pas par hasard si notre prochain congrès qui se tiendra à Besançon du 2 au 4 juin 2004 a pris pour thème : Economistes des métiers d'avenir» explique Jacques-Philippe Charpy.
En attendant, l'UNTEC multiplie les actions comme la participation au sein des structures européennes pour une uniformisation des modes de métré, le travail sur les formations supérieures bâtiment et génie civil, où encore l'information auprès des jeunes y compris «dans les petites classes», dont des actions seront entreprises très prochainement et relayées par les «régions UNTEC».
Pour cela, les représentants des économistes de la construction s'appuient principalement sur la réalisation de manifestations professionnelles mais également l'édition de la revue «Economie et Construction» ainsi que sur un nouveau site internet : www.untec.com.
