Xavier Huillard, directeur général du groupe de BTP Vinci, a annoncé mercredi avoir entamé une action en justice pour diffamation contre lancien président du groupe, Antoine Zacharias.
Les changements au sein du Conseil dadministration de Vinci font des ravages ! Suite à une lettre envoyée mercredi par lavocat dAntoine Zacharias aux administrateurs de Vinci, Xavier Huillard a indiqué avoir « donné mandat à son avocat d'engager immédiatement une action judiciaire en diffamation » contre Antoine Zacharias. Ce dernier contestait dans son courrier avoir démissionné.
En réponse à cette « lettre » et à sa « divulgation publique », Xavier Huillard affirme dans un communiqué que, « accusé par Monsieur Zacharias d'avoir été l'auteur d'une lettre de dénonciation anonyme en avril 2005 et de (s)'être livré à des tentatives de chantage en mai 2006 », il a « donné mandat à (s)on avocat d'engager immédiatement une action judiciaire en diffamation contre celui-ci ».
Le directeur général du groupe de BTP souligne dautre part que « les développements de Monsieur Zacharias lorsqu'il prétend n'avoir pas démissionné ne peuvent se comprendre qu'au regard de la problématique du maintien des droits sur les stock-options qui lui avaient été attribuées ».
Rappelons que le Conseil d'administration de Vinci a quant à lui assuré mercredi dans un communiqué qu'il n'y avait « aucun doute » sur la réalité de la démission de lancien président.
De leur côté, les avocats de Antoine Zacharias font valoir que celui-ci n'a pas formellement démissionné, car, selon lui, son départ aurait été conditionné à celui de son directeur général Xavier Huillard, depuis confirmé dans ses fonctions.
En réponse à cette « lettre » et à sa « divulgation publique », Xavier Huillard affirme dans un communiqué que, « accusé par Monsieur Zacharias d'avoir été l'auteur d'une lettre de dénonciation anonyme en avril 2005 et de (s)'être livré à des tentatives de chantage en mai 2006 », il a « donné mandat à (s)on avocat d'engager immédiatement une action judiciaire en diffamation contre celui-ci ».
Le directeur général du groupe de BTP souligne dautre part que « les développements de Monsieur Zacharias lorsqu'il prétend n'avoir pas démissionné ne peuvent se comprendre qu'au regard de la problématique du maintien des droits sur les stock-options qui lui avaient été attribuées ».
Rappelons que le Conseil d'administration de Vinci a quant à lui assuré mercredi dans un communiqué qu'il n'y avait « aucun doute » sur la réalité de la démission de lancien président.
De leur côté, les avocats de Antoine Zacharias font valoir que celui-ci n'a pas formellement démissionné, car, selon lui, son départ aurait été conditionné à celui de son directeur général Xavier Huillard, depuis confirmé dans ses fonctions.