En mars dernier, Augustin Rosenstiehl, Olivier Charles, Antoine Cordier et Armel Naouze remportaient un concours d’idées initié par Algeco. Mardi 6 décembre, ces jeunes architectes faisaient visiter leurs maisons grandeur nature, exposées dans la cour de l’Ecole des Beaux-Arts de Paris.
«Le concours ‘Habitat individuel, Industrie et Customizing’ avait pour objectif de faire naître des vocations parmi les jeunes diplômés en architecture concernant la construction modulaire», explique Guy Boyard, directeur industriel et technique chez Algeco.
«Les constructions modulaires intéressent les architectes comme les jeux de meccano passionnent les enfants, ce sont des jeux de composition et d’esprit», développe Olivier Charles, diplômé depuis deux ans de l’école d’architecture de Paris-Val de Seine. Pour ce lauréat, comme pour les autres membres de son équipe Antoine Cordier et Armel Naouze, «il est plaisant de voir son premier dessin concrétisé».
Leur projet, baptisé Drop House, est construit à partir du plus grand module Algeco transportable par la route : 13 de long, 3 m de large, 3 m de haut. D’une superficie de 48 m2, cette maison dispose d’une grande pièce à vivre à laquelle ont été greffés latéralement une cuisine et une salle de bains. Un belvédère, accessible depuis l’intérieur, développe le volume à la verticale. Dans l’idéal, ces petites unités greffées pourraient se rabattre comme des tiroirs et former un seul grand volume lorsque les propriétaires sont absents.
Posée sur une dalle béton, qui sert de fondation et abrite les connexions aux différents réseaux, la Drop House est réalisée avec une ossature métallique entièrement préfabriquée en atelier. Le bardage bois, fixé sur les panneaux sandwich isolants, est composé de lames verticales en bois (Pin Douglas lasuré) qui servent de brise-soleil.
L’autre maison, intitulée Casse-tête, a été conçue par Augustin Rosenstiehl, jeune diplômé de l’école d’architecture de Paris-Malaquais. D’une superficie de 78 m2, cette maison empile quatre modules Algeco de moindre taille pour créer une habitation plus compacte, plus urbaine. Elle comprend au rez-de-chaussée un séjour-cuisine et à l’étage deux chambres plus une salle de bains et un WC. Une terrasse est accessible par un escalier extérieur en acier galvanisé.
L’ossature métallique de la maison est ici bardée de panneaux en bois et en fibrociment, montés sur des panneaux sandwich. Mais les futurs utilisateurs sont libres de choisir parmi plusieurs types de revêtements muraux. «La modularité c’est la souplesse», conclut Guy Boyard de chez Algeco.
«Les constructions modulaires intéressent les architectes comme les jeux de meccano passionnent les enfants, ce sont des jeux de composition et d’esprit», développe Olivier Charles, diplômé depuis deux ans de l’école d’architecture de Paris-Val de Seine. Pour ce lauréat, comme pour les autres membres de son équipe Antoine Cordier et Armel Naouze, «il est plaisant de voir son premier dessin concrétisé».
Leur projet, baptisé Drop House, est construit à partir du plus grand module Algeco transportable par la route : 13 de long, 3 m de large, 3 m de haut. D’une superficie de 48 m2, cette maison dispose d’une grande pièce à vivre à laquelle ont été greffés latéralement une cuisine et une salle de bains. Un belvédère, accessible depuis l’intérieur, développe le volume à la verticale. Dans l’idéal, ces petites unités greffées pourraient se rabattre comme des tiroirs et former un seul grand volume lorsque les propriétaires sont absents.
Posée sur une dalle béton, qui sert de fondation et abrite les connexions aux différents réseaux, la Drop House est réalisée avec une ossature métallique entièrement préfabriquée en atelier. Le bardage bois, fixé sur les panneaux sandwich isolants, est composé de lames verticales en bois (Pin Douglas lasuré) qui servent de brise-soleil.
L’autre maison, intitulée Casse-tête, a été conçue par Augustin Rosenstiehl, jeune diplômé de l’école d’architecture de Paris-Malaquais. D’une superficie de 78 m2, cette maison empile quatre modules Algeco de moindre taille pour créer une habitation plus compacte, plus urbaine. Elle comprend au rez-de-chaussée un séjour-cuisine et à l’étage deux chambres plus une salle de bains et un WC. Une terrasse est accessible par un escalier extérieur en acier galvanisé.
L’ossature métallique de la maison est ici bardée de panneaux en bois et en fibrociment, montés sur des panneaux sandwich. Mais les futurs utilisateurs sont libres de choisir parmi plusieurs types de revêtements muraux. «La modularité c’est la souplesse», conclut Guy Boyard de chez Algeco.
