Le nom des deux consortiums hispano-français pré-sélectionnés pour la construction et l'exploitation de la ligne TGV entre Figueras et Perpignan vient dêtre dévoilé.
Les groupes retenus sont TP Ferro, formé notamment par le français UTE Eiffage et les espagnols ACS et Dragados, et Ferromed, composé entre autres du Réseau ferré de France et de l'Espagnol GIF, selon un communiqué de ce ministère publié sur son site web.
Deux autres consortiums avaient présenté leur candidature, l'un formé par le groupe espagnol de BTP Ferrovial et le français Vinci et l'autre par les Espagnols Acciona et Entrecanales ainsi que le Français Bouygues.
La pré-selection a été réalisée par la commission intergouvernementale hispano-française (CIG) chargée du dossier, qui entamera avec eux "d'une façon immédiate" des négociations en vue du choix définitif de l'adjudicataire de la concession avant la fin 2003 et de préciser "le contenu du futur contrat" pour ce marché, ajoute le communiqué.
Cette proposition de la CIG, "la plus avantageuse du point de vue de l'intérêt général", a été formulée aux gouvernements français et espagnol, toujours d'après le ministère espagnol.
L'investissement prévu initialement est de 714 millions d'euros pour la construction d'un tronçon de 45,4 km (24,6 km en France, 20,85 km en Espagne). Le chantier le plus coûteux sera la construction d'un tunnel de 8,17 km dont 7,3 km sur le territoire français, selon un communiqué précédent du GIF.
Fin avril, le gouvernement espagnol avait autorisé, de façon conjointe avec son homologue français, le lancement d'un nouvel appel d'offres pour la construction de la ligne Figueras-Perpignan après la rupture des négociations entre la CIG et le consortium Euroferro, composé de Bouygues et Dragados, retenu dans un premier temps.
La ligne Figueras-Perpignan sera reliée à la ligne TGV Madrid-Barcelone, dont l'ouverture est prévue en 2005 et dont un premier tronçon Madrid-Lerida a été mis en service le 11 octobre, avec un retard d'un an en raison d'une série de défaillances dans les systèmes de signalisation et des affaissements de terrain.
Deux autres consortiums avaient présenté leur candidature, l'un formé par le groupe espagnol de BTP Ferrovial et le français Vinci et l'autre par les Espagnols Acciona et Entrecanales ainsi que le Français Bouygues.
La pré-selection a été réalisée par la commission intergouvernementale hispano-française (CIG) chargée du dossier, qui entamera avec eux "d'une façon immédiate" des négociations en vue du choix définitif de l'adjudicataire de la concession avant la fin 2003 et de préciser "le contenu du futur contrat" pour ce marché, ajoute le communiqué.
Cette proposition de la CIG, "la plus avantageuse du point de vue de l'intérêt général", a été formulée aux gouvernements français et espagnol, toujours d'après le ministère espagnol.
L'investissement prévu initialement est de 714 millions d'euros pour la construction d'un tronçon de 45,4 km (24,6 km en France, 20,85 km en Espagne). Le chantier le plus coûteux sera la construction d'un tunnel de 8,17 km dont 7,3 km sur le territoire français, selon un communiqué précédent du GIF.
Fin avril, le gouvernement espagnol avait autorisé, de façon conjointe avec son homologue français, le lancement d'un nouvel appel d'offres pour la construction de la ligne Figueras-Perpignan après la rupture des négociations entre la CIG et le consortium Euroferro, composé de Bouygues et Dragados, retenu dans un premier temps.
La ligne Figueras-Perpignan sera reliée à la ligne TGV Madrid-Barcelone, dont l'ouverture est prévue en 2005 et dont un premier tronçon Madrid-Lerida a été mis en service le 11 octobre, avec un retard d'un an en raison d'une série de défaillances dans les systèmes de signalisation et des affaissements de terrain.