Deux barres d'immeubles ont été démolies dimanche par implosion dans une cité HLM du nord-est de Nice. Une destruction qui s'inscrit dans le cadre d'un programme de rénovation urbaine du quartier.
Les deux immeubles qui se sont écroulés dimanche matin contenait 138 logements. Par mesure de sécurité, 2.000 habitants du quartier avaient quitté leur logement dans un périmètre de 200 mètres autour des deux barres. Et afin de limiter les dégagements de poussière, une aspersion d'eau a été organisée sur le site, avant et après l'explosion.
De même, des mesures de la qualité de l'air ont été organisées durant l'opération. Et ce, afin notamment de répondre aux craintes d'une association, qui avait demandé la suspension de la démolition, arguant de la présence d'amiante dans les colles des sols des bâtiments.
Le tribunal administratif de Nice avait rejeté vendredi le recours déposé par cette association en s'appuyant sur le rapport d'un expert judiciaire.
En effet, selon ce document, il paraissait «très peu probable que les fibres d'amiante soient expulsées dans l'air lors du choc mécanique» et il était même moins dangereux de faire imploser le bâtiment en l'état que de désamianter les colles incriminées.
De même, des mesures de la qualité de l'air ont été organisées durant l'opération. Et ce, afin notamment de répondre aux craintes d'une association, qui avait demandé la suspension de la démolition, arguant de la présence d'amiante dans les colles des sols des bâtiments.
Le tribunal administratif de Nice avait rejeté vendredi le recours déposé par cette association en s'appuyant sur le rapport d'un expert judiciaire.
En effet, selon ce document, il paraissait «très peu probable que les fibres d'amiante soient expulsées dans l'air lors du choc mécanique» et il était même moins dangereux de faire imploser le bâtiment en l'état que de désamianter les colles incriminées.